• Chapitre 15

     

    Une fois tout les élèves dans le gymnase, la pros nous demande d'aller nous changer. Je me dirige vers le vestiaire des filles lorsque Maxime me tire vers lui et m'embrasse avant de me e sourire et de partir se changer. Je me change tout en discutant avec Émilie et un peu tout les filles de la classe sauf Alice. D’ailleurs je l'entends parler, je me demande avec qui. Je jette un coup d’œil et je vois qu'elle parle avec Nina, une fille calme, timide et gentille. Je la vois qui commence à s’énerver. Je me rapproche d'elles et pose ma main sur l’épaule de Nina en lui adressant un regard rassurant.

    -Y a Marine qui veut te parler, tu devrais vite y aller.

    -Merci.

    Alors qu'elle s’éloigne Alice la rattrapa.

    -Hey t'en va pas, j'ai pas fini de te parler.

    -Je crois qu'elle n'a pas très envie de continué à t'écouter, ta présence la dérange légèrement. Donc lâche-là.

    Les filles nous regardaient. Marine se rapprocha.

    -Viens Nina.

    Alice là lâcha fâché.

    Je suis repartis la plantant là, toute seule et je suis allée retrouver le reste des filles.

    -Merci Éléonore.

    -De rien c'est normal. Ne te laisse pas faire.

    -Je ne l'aime pas trop cette fille.

    -Moi non plus Marine.

    -Tu sais, on est toute avec toi.

    -Merci les filles, ça me touche beaucoup. Allez-y, je m'attache les cheveux et j'arrive.

    -OK.

    -Dépêche toi.

    -Oui.

    J'ai rangé mes affaires et je me suis donc fait une couette et alors que je sortais la peste me rattrapa et m'a dit à l'oreille : Tu me le paiera.

    -Mais oui c'est ça. Sache que tu ne me fais pas peur. Je ne te laisserai pas t'approcher de mon petit copain. Et puis une dernière chose, si j’étais toi je laisserai tombé parce que mon couple et plus solide que tu ne le crois car on s'aime avec Maxime.

    Je suis sortis et j'ai rejoins tout le monde. On avait handball. Mon équipe était contre celle de Alice, cela tombait bien, on a des compte à réglé. Nous étions largement en train de gagné, elle ne savais visiblement pas joué. Je ne suis pas très forte en Handball mais le reste de mon équipe était fort eux. La prof siffla le fin du match, nous avions gagnés. Malheureusement c'est Alice qui avait le ballon dans les mains à ce moment là.

    -Éléonore !

    Je me suis retourné et je me suis pris le ballon qu'elle avait violemment jeté sur moi.

    Tout le monde c'est précipité voir comment j'allais.

    -Alice, qu'est-ce-qui t'a prit ?! Miguel emmène là dans le bureau de la directrice et dis lui de la garder jusqu'à ce que je vienne.

    -D'accord madame.

    Alice la suivit, Miguel, lui n'était pas enchanté que cette corvée lui soit attribué.

    -Est-ce qu'elle à un petit copain ou bien sa meilleure amie, je ne sais pas , quelqu'un quoi pour l'accompagnée à l'infirmerie !

    -Moi, avaient répondu Maxime, Aaron et Émilie en même temps.

    -On y va tous.

    Je me tenais le ventre à genoux, Maxime m'a aidé à me levé et m'a embrassé le haut du crâne.

    Une fois arrivé à l'infirmerie, l'infirmière c'est tout de suite occupée de moi.

    -Veuillez sortir s'il vous plaît.

    -D'accord, je prendrais tes affaires de sport et je reviens.

    -Je vais me changé et je reviens tout de suite après ma Chipie.

    -OK.

    -Vous aussi jeune homme.

    Maxime ne voulais pas me quitter, et je ne voulais pas qu'il parte, je serra sa main pour qu'il comprenne. Il posa son regard sur moi.

    Elle vit nos mains et lâcha un soupir attendrit.

    -Très bien, tu peux rester.

    -Merci madame.

    -Bien, maintenant allonge toi sur le dos.

    J'ai obéis, elle à relevé mon t-shirt.

    -Je ne se pas ce qui c'est passé mais je comprends que tu es mal.

    -Une fille lui a lancé un ballon dans le ventre.

    -On peut dire qu'elle n'y est pas aller en doucement. Bon ce n'est pas très grave. Je vais te mettre de la pommade, un bandage et te donner un médicament pour faire passer la douleur.

    Elle prit la pommade, en mit sur mon ventre, c'était froid. Lorsqu'elle commença à l'étaler j'ai plissé les yeux.

    -Je te fais mal ?

    -Un peu.

    -Je suis désolée.

    -Je peux le faire s'il vous plaît .

    Elle fut un peu surprise pas sa demande, moi aussi en fait.

    -Je pense que c'est une bonne idée, tu seras sûrement plus délicat.

    Elle lui laissa sa place, lorsqu'il me toucha, je n’eus pas mal mais j'eus des frissons et mes joues devaient probablement rouge.

    -Je te fais mal ?

    -Non.

    Une fois mes soins terminé elle me prévint que je risqué d'avoir un gros bleu. Nous l'avons remercier et nous sommes sortis. Je fus surprise en découvrant une bonne partie de la classe devant la porte.

    -On a pas pus les empêchaient de t'attendre.

    -Ils s'inquiétaient pour toi.

    -Tu te sens comment ?

    -Bien, merci. Je vous remercie tous, vous n'avez pas besoin de vous inquiétez je n'ai rien de très grave.

    -Ouai, mais on va lui faire payer à l'autre peste.

    -Ouai.

    -Je vous remercie mais ce n'est pas nécessaire. On ferait mieux de rentrer chez nous, il est l'heure et j'ai envie de rentrer chez moi.

    -Oui.

    -A demain.

    -Ouai.

    Ils partirent tous sauf Valentin.

    -Je, … je voulais m’excusai de ce qu'à fait ma sœur, c'est inacceptable.

    -Tu n'y es pour rien. Au revoir.

    -Au revoir.

    Nous sommes tous rentrés. Maxime est resté avec moi, il ne voulait pas me laisser. Il est tard et je suis fatigué.

    -Tu veux monté de coucher ?

    -Ouai.

    -Bon, ben on va vous laissez tout les deux.

    -OK, monte avec ta princesse.

    -Je te la confie.

    J'ai dis bonne nuit à Antony qui étais venu passer la soirée avec nous lui aussi puis à Émilie.

    -Bonne nuit ma chérie.

    -Merci à toi aussi mimi.

    On est monté et une fois dans ma chambre je me suis dirigée vers la salle de bain suivis de près par Maxime. Je me suis approché du lavabo, j'ai pris ma brosse à dent et mon dentifrice pour me laver les dents. Maxime c'est placé derrière moi. Une fois que j'eus terminé il à plaqué son torse contre mon dos et a délicatement posé sa main sur mon ventre sans appuyé.

    -Tu as mal ?

    -Un peu mais ça va .

    -Y t'arrive vraiment que des mauvais trucs ces derniers temps.

    -Ouai. Mais on peut pas toujours avoie de la chance.

    -Il faudra changer ton bandage demain matin.

    -Oui.

    -Je le ferais.

    -Tu sais je peux le faire seule.

    -Mais j'y tiens.

    Je me suis retournée et j'ai passée mes bras autour de son cou.

    -Comme tu veux. Dis, ils repartent quand tes parents ?

    -Dans 3 jours.

    -Tu devrais être avec eux.

    -Non. Et puis ils comprennent très bien que je ressens le besoin de prendre soin de ma petite amie.

    -Tu es vraiment un amour.

    -Je sais.

    Ça réplique me fit rire.

    -Pourquoi tu rigoles ?

    -Pour rien.

    -Dis moi.

    -Non.

    -Tu te fiches de moi et tu veux même pas me dire pourquoi.

    -Je me fiche pas de toi.

    -Tu vas voir.

    Il a commencé à me chatouiller mais je me suis rapidement fais mal.

    -Éléonore ! Ça va ? Je suis désolé.

    -Je vais bien. Ne t'inquiète pas.

    -Si je m'inquiète. Je suis vraiment désolé.

    Je voyais bien qu'il était bizarre. J'ai tapoté sa joue pour qu'il me regarde je me suis vite mise sur la pointe des pieds et je l'ai embrassée.

    Il ne s'y attendait pas. Il a placé ses mains sur mes hanches et ma tendrement rendu mon baiser.

    -On va dormir ?

    -Oui, vas-y. Je me lave les dents et j'arrive.

    Je suis donc allée me coucher dans le lit. Il est venu me rejoindre quelques minutes plus tard. Je le trouve étrange, je ne sais pas ce qu'il y a mais ça ne me plaît pas. Je ne sais si c'est de ma faute, peut être que j'ai dis ou fais un truc de travers.

    Je me suis rapproché de lui et me suis mise sur le côté. Il a gardé les yeux fermés un petit moment puis a fini par ouvrir un œil.

    -Pourquoi tu me regardes comme ça ?

    Je n'ai pas répondu.

    -Éléonore ? Qu'est-ce-qui a ? Je t'en supplie réponds moi.

    -Qu'est qui ne va pas ?

    -Hein ? Je comprends pas.

    -Je sais pas ce que tu as mais tu étrange. J'ai fais ou dis quelque chose de travers ?

    -Chut.

    Il c'est rapproché et a plaqué ses lèvres contre les miennes. Je sentais qu'il y avait quelque chose de différent dans ce baiser. Lorsqu’il s'écarta je le fixa un moment et j’aperçus de la culpabilité dans son regard. Oui, aussi bizarre que cela peut paraître c'est ce que j'y ai vu.

    • De la culpabilité.

    -Quoi ?

    -Tu ressens de la culpabilité.

    -Comment tu ?

    • Je te connais par cœur. Ce regard... Tu avais eu le même cette fois où je m'étais fait mal parce que tu m'avais fait peur quand on était petit.

    -Je m'en souviens.

    -S'il te plaît, dis-moi.

    -Je m'en veux.

    -De quoi ?

    -De tout. Je devrais être capable de te protéger, de te rassurer. Depuis que cette fille est arrivée j'ai vu de l'inquiétude dans ton regard, j'ai vu des larmes roulaient sur tes joues. Je devrais empêchais tout ça. C'est mon rôle. Et jamais tu n'aurais dû être blessée aujourd'hui.

    Il était allongé sur le dos, le regard lointain et vague. Je sentis une grande tristesse m'envahir. Je me suis installée dans ses bras au risque de me faire mal. Je me dois d'être là, de le réconforter et de l'aider à sortir de cette idée idiote.

    -Tu vas te faire mal.

    -La douleur de ce foutu bleu ne pourra jamais me faire aussi mal que de te voir dans cette état. Tu as tord. Si je suis passée par tout ces états ce n'est pas ta faute mais celle d'Alice. Tu as tout le temps était là, pour me rassurer, pour sécher mes larmes. Et quand elle m'a lancée ce ballon dans le ventre tu as aussitôt était à mes côtés. Tu n'as pas à t'en vouloir. Tu n'es responsable de rien. Et là, tu es là, avec moi alors que tes parents sont chez toi, que tu ne les vois presque pas et qu'ils repartent bientôt.

    -Éléonore …

    -Tu es le petit ami parfait et je t'interdis de dire le contraire, OK ?

    Je m’appuyai sur un coude et le regardais dans les yeux. Il s'est mis sur ses coudes et c'est un peu relevé pour déposé un doux baiser sur mes lèvres.

    -Oui.

    J'ai souris.


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