• Chapitre 36

     

    Cela faisait déjà un moment qu'elle était là, assise au pied de cet arbre auquel elle avait grimper un grand nombre de fois, derrière lequel elle c'était caché …

    Elle regardée, touchée se souvenait et surtout revivait tout ses moments de bonheur qu'elle avait vécu autrefois.

    Des photos d'elle mais pas seulement, d'anniversaire de fête de bal d'elle avec des enfants des collègues de son père mais surtout d'elle avec Maxime, Antony et Léon mais en particulier Maxime.

    Une larme coula sur sa joue et s'écrasa sur une photo sur laquelle elle était souriante dans les bras de Maxime.

    -Pourquoi lui ais-je mentit ? Pourquoi ne pas lui avoir dit qui j'étais ? J'ai tout perdu, je l'ait perdu .

    -Non c'est faux.

     

     

    Du côté de Maxime :

    Je m'avance dans ce bois ou j'ai passer beaucoup de temps dans mon enfance.

    J'arrive dans cet endroit si beau ou nous allions …

    Elle est là, assise contre cet arbre, elle à plein de photo … autour d'elle, elle en tient une dans sa main .

    Mais … que , une lame coule sur sa joue et s'écrase sur la photo.

    -Pourquoi lui ais-je mentit ? Pourquoi ne pas lui avoir dit qui j'étais ? J'ai tout perdu, je l'ait perdu.

    Non, c'est faux, elle ne m'a pas perdu, c'est faux mais … c'est ce qu'elle doit croire à cause de mon attitude, pourtant ce n'est pas le cas, elle ne m'a pas perdu ...

    -Non c'est faux .

     

    Retournons du côté de Éléonore :

     

    Je me retourne vivement et le voit. Il est là en chair et en os.

    -Tu ne m'as pas perdu.

    Il avance vers moi. Cela fait longtemps qu'il ne m'a pas parlé, cela me fait bizarre.

    • C'est ma faute si tu crois ça, je t'en voulais tellement de ne pas m'avoir dit la vérité et je m'en voulais à moi même . Tu lui ressemblais tant, mais je n’ai pas pensé un instant que tu … Tu été là devant moi mais je n'ai rien vu. Il m'ait arrivé de me demander comment j'aurais agis avec elle car je ne savais pas comment agir avec toi, pour te réveiller par exemple je l'ai fait comme je l'ai fait autrefois. Je me suis sentit trahis, parce que j'avais l'impression de la trahir en agissant comme ça avec toi, j'avais l'impression de la trahir, de l'oublier même si ce n'était pas la cas, mais je me rends compte que je t'ai fait souffrir.

    • Co... Comment as-tu sus que je serai là.

    • Le poème, tu l'as perdu devant chez moi.

      Je mis instinctivement ma main dans ma poche, … Il n'est pas là.

    • Lorsque je l'ai lu j'ai reconnu ton écriture et a force de le lire encore et encore il est devenu clair tu ne pouvais être qu'ici, et donc je suis venu.

      Il s'approche encore et encore.

    • Ton poème était clair, je t'ai fait du mal, beaucoup de mal . Je ne te regardais plus ne te parlais plus, plus rien. Les derniers vers était assez clair , le passé , notre enfance.

      Je pleurais ...

    • Oui ...

    • Pourras-tu me pardonner ?

      J'étais choquer, il s'excuser et … Mes larmes coulées a flot.

    • Éléonore …

    Je me suis jetée dans ses bras et il m'a serré dans les siens, comme avant.

     

     

    -Je suis vraiment désolé.

    -Moi aussi.

    -Pourquoi tu ne m'as rien dit ?

    -Et bien c'est compliqué.

    -J'ai besoin de comprendre.

    -D'accord, lorsque vous êtes partis, je me suis sentit anéantit, j'étais malheureuse, sans vie.

    Ma mère m'a forcé à sortir avec elle en ville, je n'ai pas eu d'autre choix. Je me suis fais renversée par une voiture. J'ai perdu la mémoire, quelques fragments son revenu mais le puzzle était loin d'être reconstruit. J'ai après cela demandé à mon père d’aménager seule dans une autre ville, j'avais besoin de me reconstruire et ce n'était pas chez moi que j'y serai arrivée. Dans cette maison ou je ne pouvais pas faire un pas tranquille, ou ma mère m'empêcher de retrouver mon passé. Il était contre mais j'ai fini par le convaincre.

    Puis je t'ai rencontrer, au fur et à mesure tout m'est revenu.

    Mais si je ne t'ai rien dit c'est parce que , nous avions grandit et les gens changent donc j'ai préféré apprendre à te redécouvrir.

    -Je suis sincèrement désolé, je ne savais pas que tu avais autant souffert.

    Moi aussi j'ai été anéantit, j'avais perdu ma joie de vivre, mon cœur était fissuré. Je n'ai jamais perdu espoir de te retrouver mais déception après déception j'ai tout enfermer dans un coffre, je ne t'oublier pas mais … je voulais te garder pour moi en l'ouvrant je te retrouver je retrouver se que nous avions vécu en dehors j’essaye d'être heureux.

    Après tout j'aurais du te reconnaître.

    -Non , et puis maintenant c'est trop tard, cela fait partit du passé.

    -Oui. Et...

    Il c'est levé et c'est posté derrière moi lorsque j'ai voulu me retournée il m'a dit de ne pas bouger, je me suis donc exécuté.

    Il m'a passée un bijoux autour du cou.

    Mon collier...

    -Tu l'as perdu dans ma chambre.

    -Ah …

    Il a passé ses bras sur ma taille et ma serré bien fort conte lui.

    (Les bras de Maxime sur la taille de Éléonore).

    -J'ai vraiment été aveugle, la plage, le concours on y était ensemble quand on était petit n'est-ce-pas ?

    -Oui.

    -Et, le poème... il était pour moi ?

    -Euh … et bien …

    -Sous les étoiles de la nuit

    Nous prenons un bain de minuit

    Ta présence efface tout mes ennuis

    Et tu hantes chacune de mes nuits.

     

    C'est dans les meilleures moments

    Que l'on souhaite demandé au temps

    De ne jamais s'arrêter

    Comme je ne cesserais jamais de t'aimer

     

    Je suis là pour toi

    Juste là à côté de toi

    Mais pourtant j'ai l'impression que tu ne me voie pas

    Il m'arrive d'avoir envie de te dire 'réveille-toi' !

     

    Regarde-moi

    Et peut être tu découvriras

    Que ce que tu cherchais

    A toujours été tout près.

     

    Je rougis immédiatement, il le connaissait mais en plus si je lui disait que oui les 2 première strophes étaient un peu comme si je lui disait que je l'aime. Je ne savais pas quoi lui dire.

    -Les deux dernières strophes … tu me passé un message que je n'ai pas su voir, tu me disais que tu étais là, juste sous mes yeux.

    -Oui...

    -Donc c'était bien pour moi ?

    -Et bien … euh … oui, dis-je dans un murmure.

    Il souria, me fit un petit bisou dans le cou en resserrant légèrement son étreinte.

    -Maintenant rentrons tout le monde s'inquiète pour toi.

    -D'accord.

    J'étais heureuse.

     

    Dans les train j'étais épuisée, il a envoyer un SMS pour prévenir Antony.

    Je me suis endormit contre son épaule, il ma sert un peu plus contre lui.

    -Je ne te laisserai plus jamais...jamais, je te le promets.


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