• Chapitre 37

     

    Le train arrive. Maxime regarde Éléonore dormir sur son épaule. Elle est paisible et semble entièrement heureuse. Il la sert encore un peu contre lui.

    Du côté de Maxime :

    Elle ressemble à un ange. Ma princesse, comment j'ai pu ne pas m'en rendre plus compte plus tôt. Je m'en veut tellement d'avoir agis comme ça, je l'ai fait souffrir.

    Retour du côté de Éléonore :

    Il se résigne finalement à la réveiller tout doucement.

    -Éléonore, le train arrive.

    Voyant qu'elle ne réagit pas il se remémore que elle peut avoir le sommeil vraiment très lourd.

    Il dépose un baiser sur sa joue et lui souffle tout doucement au creux de l'oreille.

    -Éléonore, il faut se réveiller, réveille toi ma petite princesse.

    Au doux son de la voix de Maxime, Éléonore finit par ouvrir délicatement les yeux pour voir le garçon qui l'a tant fait pleurer ces deniers jours auprès d'elle.

    -Ma petite marmotte.

    -Hey... Je suis pas une marmotte.

    -Je sais, tu ais bien plus mignonne mais tu as le sommeil lourd.

    -Je sais … Il faut avouer que je n'avais pas envie de me réveiller j'avais peur que tout ceci ne soit qu'un rêve.

    -Non, c'est entièrement réel.

    Nous avons souri. C'est hésitante que je me suis doucement rapprochée de lui, et me suis blottit dans ses bras. Depuis tout ce temps je rêvais du moment ou je pourrais à nouveau être dans ses bras. Quand je suis dans ses bras je me sens si bien, je me sens protéger et j'ai l'impression que rien de mal ne pourrais arrivé, je me sens m'envoler, je sens le bonheur monté en moi, je sens des papillons dans mon ventre tout comme à chaque fois qu'il me fait un bisou. Il fut un peu surprit par mon geste, il ne s'y attendait pas surtout que je ne prend pas souvent l’initiative de lui faire un câlin, mais il ne s'en plein pas et me serre un peu plus fort dans ses bras . On finit par se lâcher mutuellement à contre cœur puisque le train arrivait. Mais il déposa un baiser sur ma joue.

    Nous avons prit nos bagages ( pas grand chose ) et sommes descendu du train.

    Je vous laisses deviner ma surprise lorsque je vis tout mes amis...

    Lorsqu'ils nous aperçurent ils se jetèrent sur moi.

    -Éléonore !!!

    -Où tu étais ?

    -Tu aurais pu nous prévenir !

    -On c'est fait un sang d'encre.

    -On c'est vraiment beaucoup inquiéter.

    -Tu ne répondais pas au SMS.

    -Ni au coup de téléphone d'ailleurs.

    -Tu ne réfléchit vraiment a rien.

    -Tais-toi tu étais très inquiet toi aussi.

    Il ne répondit rien à ça.

    -Je suis vraiment et sincèrement désolée de vous avoir tous inquiéter. Ce n'étais pas mon intention.

    -Encore heureux.

    -Il est tard nous devrions rentré.

    -Oui.

    -Je peux te parler 2 secondes ?

    -Oui bien sûre.

    -Ce soir je ne dormirai pas à la maison.

    -Antony, je suppose.

    Elle devint rouge pivoine, je n'avais pas besoin qu'elle me réponde.

    -Profite bien et n'oublie pas de bien te blottir dans ses bras.

    -Arrêteeuuhhhh !!!

    -Je te taquine.

    -Je sais.

    Je la prit dans mes bras.

    -Je me suis beaucoup inquiéter.

    -Je sais je suis désolée. Bon file.

    -A plus .

    -Ouai.

    Deux bras mon tirai en arrière et je me retrouva contre le torse d'un garçon, il posa sa tête sur mon épaule.

    -Tu m'as vraiment inquiéter Chipie.

    -Je sais je suis désolée.

    -Ne me refais jamais ça tu entends.

    -Oui.

    -Tu me le promet ?

    -Oui c'est promit, si je venais à devoir m'absenter ou disparaître je te laisserai un message ou quelque chose ou même je répondrais aux SMS et au appels. Ça te vas ?

    -Mouais, je préférerai que ça recommence jamais mais c'est mieux que rien.

    -Je suis vraiment désolée de t'avoir inquiéter grand frère.

    -Oh , arrête sinon je pourrais pas t'en vouloir ni te faire la tête.

    Je rigola légèrement avant de lui faire un câlin et un bisou sur la joue.

    -Je t'adore.

    -Moi aussi je t'adore .

    -Bon je vais y aller.

    -OK a bientôt.

    Il me fit un bisou sur la joue et partit retrouvé Marinna.

    Léon et Antony s'approcha.

    -Bon retour parmi nous Lolita, me dit-il en me faisant un clin d’œil.

    -Ouai bon retour …

    -Merci farceur et merci a toi aussi ronfleur.

    -Vous aviez comprit ?

    -Moi quasiment de suite mais j'en ai pas parlé.

    -Moi il y a déjà quelques temps mais pas si longtemps que ça non plus.

    -Oui et il y a quelques jours il est venu m'en parlé.

    -Je vois . Je suis désolé de ne rien vous avoir dit.

    -Ne t'inquiète pas.

    -Pour tout te dire Aaron nous à surprit en train d'en parlé et nous à expliquer.

    -Ah .

    -Bon on te laisse, après tout cette semaine sans lui à été longue on va pas te retenir plus longtemps.

    -Il a raison dépêche toi d'aller le retrouver.

    -Merci.

    Il me prirent dans leurs bras et me laissèrent avec Maxime.

    -Je te raccompagne tu viens ?

    -Il est tard, tu restes ?

    -Non, … pas ce soir.

    -D'accord...

    Il faut l'avoué j'étais déçu mais j'avoue que … je me sens étrange.

    Après être arrivé devant ma demeure il m'a prit dans ses bras et m'a serrée très fort, il ne me lâcha que quelque minutes plus tard, et m'embrassa... sur la joue (je suis méchante je vous fais attendre XD Que je suis méchante) et me souhaita un bonne nuit et a l'oreille me dit ces quelques mots:

    - Je tiens encore à m’excusai et ne part plus jamais comme ça...

    Puis il est partit.

    Je suis ensuite rentrée chez moi et suis montée me couché.

    La tête pleine de rêverie... Plus belle les unes que les autres.

     

     


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