• Chapitre 45

     

    Pendant tout le reste de la journée Maxime ne m'avais pas lâché que ce soit du regard ou bien en me prenant dans ses bras …

    Les filles me disaient qu'il était jaloux, que aujourd'hui j'avais reçu beaucoup de demande et que cela l'effrayer, qu'il devait avoir peur de me perdre et pleins de truc dans le genre. Et elles ajoutèrent que le fait que je me soit habillé comme ça lui avait fait bizarre, mais que de la façon dont il me regardé il n'y avait pas de doute il me trouvait belle et que je ne lui était pas du tout indifférente. Tout ça c'est ce qu'elles disaient, je ne dis pas qu'elle mentent mais j'aimerai qu'il me le dise lui même.

    Sinon j'étais en cours d'espagnol, lorsque Aaron me fit un passé un mot qui avait traverser toute la classe pour arriver jusqu'à ma place et qui venait de Maxime. Il me fit un clin d’œil et j'ouvris discrètement le mot.

    Rendez-vous demain après-midi dans le parc à 14H

    Je fus un peu surprise mais je ne pu empêcher un sourire ce dessiner sur mon visage, je leva la tête vers lui et je hocha de la tête en signe d'approbation. Il fut soulagé et heureux.

    Nous écoutâmes le reste du cours et rentrèrent chez nous chacun de notre côté.

     

    Ce matin comme par hasard les profs avaient décidaient de tombé tous malade. En réalité Lucie les avaient entendu discutaient, ils « sécher » les cours pour pouvoirs finir de ce préparé pour le bal. Je suis donc allé la matinée aidé pour le bal. Maxime ne m'accompagna pas car il c'était couché tard et qu'il voulait dormir mais il m'a demandé de prévenir qu'il accepterai de jouer et de chanter un peu le soir du bal.

    -Bonjour !!!

    -Ah bonjour Éléonore, c'est gentil d'être venue.

    -Pas la peine de me remercier ça me fait plaisir Monsieur.

    -Alors en quoi vas-tu nous aidé.

    -Et bien pour le soir du bal je pourrai chanté et pourquoi pas joué .

    -Ce serai génial.

    -Et Maxime n'a pas pu venir mais il m'a demandé de vous dire que lui aussi.

    -Encore mieux.

    -Et je vais aider pour la décoration je pense ou des trucs dans le genre.

    -D'accord, je vais te laisser alors.

    Je suis aller aidé. Et j'ai croisé Antony. Je suis chanceuse, je vais pouvoir lui parlé de son comportement avec Émilie.

    -Salut Ronfleur.

    - Tu es là toi.

    -Comme tu peux le voir. Tu as quelques minutes il faudrait que je te parles.

    -Euh, oui.

    Nous sommes allés nous asseoir.

    -En faite voilà. J'ai remarqué que tu n'es pas très démonstratif avec Émilie. Je sais que tu l'aimes, je le vois dans ton regard. Je sais aussi que tu essaye de faire des efforts mais...

    -C'est elle qui t'en a parlé ?

    -Elle m'en a touché deux mots c'est vrai …

    -Je vois … c'est juste que je sais pas comment m'y prendre.

    -Je peux peut être te donné quelques conseils.

    Elle ne veut pas que tu deviennes un autre, pas non plus que tu la colle comme de la glue 24h / 24h mais fait lui des compliments de temps en temps. Essaye de la prendre dans tes bras, de l’embrassé, même si je sais que ça te gêne ou alors fait le discret rien que ça, je pense que ça lui ferai énormément plaisir.

    -Je comprends, merci.

    -C'est normal entre amis.

    -Ouai.

    -Bon on se remet au boulot, au fait tu viens m'aider.

    -J'arrive la petite.

    -Mais euh …

    Nous avons continué à nous taquiné un moment mais nous avons bien aidé quand même.

     

     

    Vers 11H30 je suis rentré chez moi, j'ai mangé et à 13h15 je suis monté me préparé.

     

    (Sans les lunettes et la bague).

    Je me suis ensuite rendu au parc en écoutant de la musique.

    J'étais en avance, je rêvasser quand tout à coup quelqu'un me tira en arrière je lâcha un petit cri ce qui fit rire Maxime.

    -Idiot, tu m'as fait peur.

    -Désolé princesse, mais c'était trop tentant.

    -Tu vas voir !

    Je me suis mise à le courser à travers le parc, nous jouions comme des enfants quand d'un coup je lui sauta dessus .

    -D'accord je m’avoue vaincu.

    -Ouai je suis trop forte, ais-je dis en levant mes bras.

    Je ne sais pas comment mais je me retrouvais par terre allongée sur l'herbe , lui au dessus de moi.

    -Toujours ce méfier.

    -Mais euh, tu as triché.

    -Tu en ais sûre ?

    -Euh … non . Je crois que je vais dire non .

    -Bonne réponse.

    -Ouf

    -Au faite tu es très jolie, dit-il en tournant la tête, alors qu'il rougissait.

    -Euh … merci.

    Il sourit et m'aida à me levée. Nous nous promenons quand on entendit des mecs un peu plus loin dire que j'étais un canon … etc … Cela ne plut apparemment pas à Maxime car il me prit la main et me tira un peu vers lui. Je souris , puis leva la tête vers lui, qui aussitôt tourna la tête, je rigola légèrement.

    -C'est pas marrant … dit-il en rougissant.

    -Si un peu.

    -Non...

    -Bon je rectifie c'était trop mignon.

    -Si tu le dis.

    Il se mit à pleuvoir, nous n'avions pas vu le temps se dégradé.

    Nous nous sommes mit à courir sous la pluie.

    -Vient j'habite pas loin.

    -D'accord.

    Une fois sous le porche nous nous sommes regardé, nous étions trempés. Nous avons éclatés de rire, une fois cette crise de fou rire terminé je réussis à articuler la question qui me trotter dans la tête.

    -Sinon, pourquoi tu m'as invité cette après-midi ?

    -Ah ça … et bien en fait je voulais …

    -Oui ?

    Il allait continué sa phrase quand la porte s'ouvrit pour laissé apparaître un belle femme âgée d'environ 38 ans. Je reconnus le mère de Maxime bien que je ne l'ai pas vu bien souvent, elle n'avait pas vraiment changé.

    -Oh ! Vous êtes trempés rentrer.

    Nous nous sommes exécuté.

    Maxime ne savait pas quoi dire, il ne voulait pas me présenté car on est censée déjà se connaître. Et puis il paraissais assez gêné.

    -Bonjour mademoiselle, je suis ravi de faire ta connaissance,comment tu t'appelles ?, il est rare que je puisse voir des ami(e)s de mon fils. Tu me rappelles une adorable petite fille qui était très amie avec Maxime quand il était petit, elle devrait avoir ton âge. Oh ! Je suis désolée je suis vraiment trop bavarde.

    -Bonjour, je m'appelle Éléonore, ne vous excusez pas, ce n'est pas grave.

    -Éléonore dis-tu... est-ce-que ce serai possible que tu …

    -Oui, c'est moi je suis très heureuse de vous revoir .

    -Oh, je me disais aussi. Alors finalement vous vous êtes retrouvés. Je suis ravi de te revoir tu sais.

    -Euh, on pourrait peut être allés s'asseoir non ?

    -Oui très bonne idée. Mais d'abord va te changé sinon tu vas attrapé froid. Et toi Éléonore suis-moi je vais te prêter des vêtements.

    -Tu crois pas que ça risque d'être un peu trop grand.

    -Tu n'as pas tord. Tu n'as qu'à lui prêter des vêtements.

    -Ça te va ?

    -Euh … oui.

    Je monte donc avec Maxime dans sa chambre.

    Me retrouvais dans sa chambre me faisait bizarre, j’aperçus une photo et je m'en approcha. Je la regardais.

    Maxime m'encercla de ses bras.

    -Tu t'en souviens ?

    -Oui bien sur c'était pour ton anniversaire tu avais insister pour que je m'habille en princesse et que je joue du piano.

    -Oui.

     

    -Ça t'allais très bien, tu étais vraiment trop mignonne.

    -Merci.

    Il me lâcha

    -Tiens, j’espère que ça t'ira. Ce sont des vêtement que la fille d'un amie a oublié, et un gilet à moi.

    -Merci.

    -Tu peux aller te changer dans la salle de bain.

    -D'accord.

    Je me suis donc changée, ces vêtements étaient resté avec les vêtements de Maxime et ils avaient prit son odeurs ce qui étais plutôt agréable.

    (Sans : les lunettes, les boucles d'oreilles, les bracelet, la bague, le sac et les chaussures (puisqu'elle garde ses basket.)

    (Que le gilet)

    Nous sommes dons redescendu, Hélène était déjà dans le salon , Maxime était descendu quelques minutes avant moi, je rentra à mon tour dans le salon quand Maxime m'attrape et me mis en sac à patate sur son dos. Je cria puis rigola.

    -Lâche-moi .

    -Hum … non j'ai pas envie.

    -Mais euh … Allez s'il te plaît.

    -Ahah

    -Hélène c'est pas marrant !

    -Si très marrant. Je vois que vous êtes toujours aussi complice.

    Maxime me reposa au sol entre lui et la petite table entre les 3 côtés de son canapé. Il me prit pas la taille et se laissa tombé m'entraînant avec lui dans sa chute.

    -Hey !

    -Tu croyais pas que je te laissé tranquille quand même .

    -Euh … ben si.

    -Et bien tu t'es trompé.

    -Je vais chercher à boire et de quoi grignoter.

    -D'accord.

    -OK.

    Il me chuchota :

    -Arrête de vouloir que je te lâche sinon ma mère risque de me dire d'arrêter de t'embêter et j'aurais plus trop d'excuse pour te prendre dans mes bras .

    -Ouai ben qui te dit que je n'ai pas envie que tu me lâche?

    -Hum … ton cœur je dirai et ton sourire.

    -Même, si on suppose que ça me dérange pas

    -Et que tu apprécie.

    -et que j'apprécie si ça peut te faire plaisir, c'est gênant...

    -Ça te gêne pas tant que ça au lycée pourtant, dit-il avec un air de malice dans la voix.

    -Oui mais au lycée, c'est au lycée et au lycée il n'y a pas Hélène .

    -Tu es trop mignonne.

    Il me fit un bisou dans le cou. Je me laissa donc allé tranquillement dans ses bras comme je le fais d'habitude.

    -Tu t'avoues vaincu ?

    Me demanda-t-elle en me donnant un verre coca ainsi qu'a Maxime et en déposant des biscuit sur la table basse.

    -Oui, je crois que c'est peine perdu alors autant en profiter.

    -Ahahah tu me fais bien rigolé. Ce me fait plaisir de vous voir comme ça. Vous êtes aussi adorable que quand vous étiez petit, inséparable ! C'était tellement mignon .

    Quand on est partit Maxime ne souriait plus, ne rigolai plus. Il était tellement triste. Je me rappelle que pendant quelques temps surtout au début il pleurait dans son sommeil et des fois il t'appelait aussi.

    Il resserra son étreinte sur moi, et déposa sa tête sur mon épaule. Je fis glissé une de mes mains avec laquelle je pris la sienne.

    -Tu lui manquais beaucoup.

    -Ce n'étais pas beaucoup mieux de mon côté.

    -Oui je sais une fois j'ai revus ton père et nous avons discuté mais à ce moment là tu avais déjà eu ton accident. Je n'en ai donc pas parlé à Maxime car je sais qu'il aurait été très triste et qu'il ce serait beaucoup inquiéter, il venait à peine de se remettre à sourire.

    -Je comprends.

    -Bon je suis désolée les jeunes mais je dois vous laissés j'ai du travail.

    -D'accord, au revoir.

    -A bientôt.

    Elle partit. Nous remarquâmes qu'il ne pleuvait plus.

    -Va te changé on va sortir.

    -OK.

    Je suis donc remonté remettre mes vêtements qui avait sécher.

    Une fois en bas j'étais à quelques marches du sol, Maxime était en bas il m'attendais, et me tendait les bras.

    -Allez sautes.

    -Tu es malade.

    -Allez.

    Je souffla puis sourit. Je sauta donc dans ses bras et bien évidemment il me rattrapa et me fit un peu volé comme on le fait au enfant .

     

    Nous sommes sortit et nous marchions sans vraiment de destination.

    -Tu es un vrai gamin.

    -Je sais, mais c'est une occasion de plus pour te prendre dans mes bras, dit-il en rougissant légèrement

    Nous nous étions arrêter.

    -Tu as vraiment besoin d'excuse pour me prendre dans tes bras ?

    • Euh … pas vraiment, il détourna son regard. Me regarde pas comme ça .

    -Comment ? Lui demandais-je pour le taquiner.

    -Comme tu le fais, répondit-il en me regardant dans les yeux en souriant.

    Il avança un sourire au lèvre je recula jusqu’à me retrouvais coincer contre un mur. Il se rapprocha et m'embrassa délicatement sur le front, puis ce recula. Il me sourit, prit ma main et nous nous remîmes à marché, j'en profita pour me rapprochais un peu et il me fit me rapprochait encore un tout petit peu. J'étais heureuse, je me sentais bizarre, j'ai des papillons dans le ventre et j'ai envie de sauté partout et dans tout les sens. On se comporte comme un couple mais pourtant nous n'en sommes pas un, mais d'après les autres ce n'est qu'une question de temps, je l’espère. Finalement je lui posa la question à laquelle il n'avais pas pu répondre quelque minutes plus tôt.

    -Alors pourquoi tu m'as invitée ?

    -Et bien c'est parce que...

    Nous étions dans le parc, il me prit la main, me prit par les hanches et me souleva et m'assit sur un muret en pierre. Je fus surprise, il me regardait dans les yeux quand il me dit la raison de ce rendez-vous.

    -Je voulais te demandais si tu voulais bien être ma cavalière pour le bal de samedi.

    Un sourit apparu immédiatement sur mon visage, ses mains étaient placés de par et d'autres de mes jambes posés sur le muret. Je frôla ça main droite de ma main gauche.

    -Avec plaisir.

    Il sourit lui aussi et je pût voir dans ses yeux une étincelle de soulagement, de bonheur et je pense qu'il a comprit que la demande que j’espérais recevoir était la sienne. Il me reprit par la taille et me fit descendre de mon perchoir sans oublier de me serrer contre lui. Il me raccompagna jusqu'à chez moi.

    Il me prit dans ses bras, et dans un souffle me dit un « A demain princesse » avant de déposé un baiser dans mon cou puis un autre sur ma joue et de partir un sourire au lèvre.

    Je rentra ensuite chez moi et ce n'est que dans mon lit que je pris une résolution pour le grand jour.


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