Chapitre 5

Point de vue d’Émilie :

Le film allait bientôt se terminé. Éléonore c'est endormit. J'entends quelqu'un frapper à la porte, je me lève doucement en faisant attention et vais ouvrir. En ouvrant la porte, je vois Maxime.

-Salut.

-Salut, venu voir ta princesse ?

-Ouai.

-Entre, mais fais doucement elle c'est endormit, sur le canapé.

-D'accord.

Il est rentré, j'ai refermé la porte, et je l'ai suivis. Lorsqu'il est entré dans le salon son regard c'est immédiatement posé sur elle. C’est fou à quel point ils sont mignons.

Il se rapproche et s'installe au bord du canapé et la regarde au bout d'un moment il approche sa main vers son visage et il lui caresse la joue. Elle pousse un petit gémissement en plissant les yeux, il rapproche son visage du siens et dépose un baiser sur son front.

-Éléonore.

-Hum … Maxime.

Je souris, ils sont trop ADORABLE.

Pour moi ils sont fait l'un pou l'autre, je les vois déjà mariés, avec plusieurs enfants et moi tata.

Elle ouvre les yeux et le voit ils se sont sourit.

-Ça va ?

-Oui et toi ?

-Ouai. Tu t'es pas loupé, tu sais plus descendre d'un arbre maintenant.

-Mais si, mais j'ai glissé.

-Ouai et je pari que tu t'es retrouvée sur le cul, a-t-il lâché d'un air moqueur.

-Mais … tu es pas gentil.

C'est deux là me font sourire.

Point de vu d’Éléonore:

Comme Maxime me l'avais dit, il est venu me voir, et il se moque de moi.

-Tu es fatigué ?

-Un peu j'avoue.

-Allez viens je te monte.

Je le regarda perplexe, je passa mes bras autour de son coup, il passa un bras derrière mon dos et l’autre au niveau de mes genoux et me souleva, je fus surprise au début et m'accrocha fermement à lui puis desserra un peu mes bras. Il se dirigea vers l'étage, devant ma chambre j'ouvris la porte, et la referma, il me déposa sur mon lit .

-Et voilà, tu peux dormir maintenant.

-Non, je crois pas .

-Pourquoi ?

-Parce que j'arriverai pas comme ça m'endormir et surtout à cet heure et de plus il faudra que je prépare à mangé, Émilie est pas très douée et j'ai pas envie qu'elle m'empoisonne involontairement.

-Bon d'accord. Donc je t'ai montée pour rien.

-Un peu ouai. Non je rigole, je vais dessinée. Tu peux rentrée chez toi si tu veux, et profitez de tes parents tu n'en à pas souvent l'occasion.

-Oui, c'est vrai mais je ne sais pas quoi faire avec eux, de plus je ne fais que pensez à toi parce que tu me manques et comme je te l'ai dit ils ne me lâche pas à ton sujet.

Je rigola, franchement c'était assez marrant comme situation.

-Arrête de rigolez, c'est pas marrant pour moi.

-Je suis désolée mais avoue que c'est tout de même légèrement comique.

-Mouais …

Je m’allongea sur le lit.

-Tu as mal ?

Il m'avait demandé ça en parlant de ma cheville et des quelques égratignures qui était sur mon corps.

-Non pas trop ça va. J'ai pris un médicament que on m'a prescrit, et puis comme on m'a désinfectée mes plaies ça va.

-Tu sais... je me suis vraiment inquiété quand tu m'as dit que tu étais à l'hôpital... dit-il en s’allongeant à mes côtés.

Je me suis mise dans ses bras, et il à commencé à joué avec mes cheveux. J'aime bien se geste, moi avec mon index je redessine ses abdominaux, ce qui lui donna des frissons à quelques moments et ça m'amusa.

-Je suis désolée, j'essayerai d'être plus prudente pour que tu n'es plus à t'inquiéter.

-Oui.

Je suis tellement bien dans ses bras, c'est vraiment bizarre comme sensation.

-Dit .

-Oui quoi ?

-Tu pourras venir chez moi ? Parce que sinon je crois que je vais devoir m'enfuir, je pourrais pas survivre .

-Tu exagères pas un tout petit petit peu ?

-Si seulement. Ils me parlaient comme ça et puis mon père à commençait comme ça : « Au fait, ta mère m'a dit que tu avais retrouvée Éléonore. Elle m'a beaucoup parlée d'elle, ça me ferais très plaisir de la revoir tu sais ? »

et puis ils ont continués pendant 15 minutes et j'ai trouvés un excuse pour m'enfermer dans ma chambre et ne plus en ressortir. Mais je suis sûr qu'ils vont encore me parlé de toi ce soir au dîner. Et quand j'essaye de changé de sujet ils trouvent une solutions pour en revenir là où on en était. Ne crois pas que je veux pas parlé de toi mais avec mes parents c'est pas génial.

-Je comprends ne t'inquiète pas.

-Alors tu veux bien.

-D'accord, tu veux que je viennes quand ?

-Je sais pas demain ?

-Après demain je préférerai, histoire que mes égratignures disparaissent un peu.

-D'accord, après demain et tu passes la nuit chez moi, voir deux.

-Euh … d'accord si tu veux.

-Super.

-Mais... tu leur à dit ?

-Quoi ?

-Que nous deux...

-Non je ne leur est pas dit qu'on sort ensemble.

-D'accord.

-Ne le prends pas mal , c'est juste que je savais pas comment leur dire et puis j'en avais pas parlé avec toi donc j'ai rien dis mais on leur dira si tu veux il n'y a pas de problème.

Je l'embrassa sur la joue.

-Ça va respire je te demande ça juste pour savoir.

Nous ne parlions pas, nous nous regardions tout simplement quand son portable vibra.

-Bouge pas.

-Mais …

-J'ai dis, bouge pas.

-Bon …

J'ai mis ma main dans sa poche et pris son portable.

-Je peux regardé qui c'est ?

Je préfère lui demandé. Je trouve que ça ne se fait pas de fouiller dans le portable des autres, je pense que c'est une forme d'intimité donc je lui demande et je comprendrais et ne lui en voudrais absolument pas si il me dit non .

-Oui vas-y.

-Tu es sûre, c'est pas grave si tu veux pas je comprends tu sais.

-Je t'ai dis que tu pouvais.

-D'accord .

J'ai donc déverrouiller son portable et regardé.

-Ta mère.

-Je me demande ce qu'elle veut .

Je lui tendis son portable.

-Tiens, regarde.

-C'est bon ouvre .

Je le regarda dans les yeux quelques secondes et il me sourit. Bon, j'ouvris son message:

Salut mon lapin, il est 18h25 et je voudrais savoir quand tu vas rentré, bisou.

-Tu peux répondre que j'étais venu te voir et que je vais partir donc que je serais à la maison dans environ 15 minutes.

-D'accord.

Je tapa donc un SMS et l'envoya.

-Mais il te faut moins d'un quart d'heure pour rentré chez toi.

-Je sais mais je sais aussi que je ne vais pas avoir envie de te laisser donc voilà.

Je sourit à ses paroles, je remis son portable dans sa poche.

-Allez debout.

Je me suis relevée et lui aussi. Je me suis mise debout et je commençais à sortit quand il m'attrapa par les hanches et me fit me retourner, il me souleva, j’entourai mes bras autour de son coup et mes jambes autour des sa taille.

-Qu'est ce que tu fiches ?

-Je te descend.

-Je peux marché tu sais.

-Oui, mais ça me permet de te gardée encore un peu contre moi.

Je souris il est trop chou et c'est donc ainsi qu'il me descendit en façon koala. Une fois en en bas il me posa. Je l'accompagna jusqu'à la porte, il allait partir, il le faisait exprès pour me faire ragé. Je le rattrapa, le retourna, attrapa, son col, passa mes bras autour de son cou, il passa ses bras autour de ma taille, et se pencha vers moi.

-Tu as pas oubliée un truc.

-Peut être mais je m'en rappelle plus.

-Fiches-toi de moi.

Nous avons souris avant de nous embrassés, ensuite il me prit dans ses bras.

-On se voit dans 2 jours alors?

-Oui.

-Survis jusque là, dit à tes parents que je viens après demain ça devrait les calmez je pense.

-Espérons. Bon j'y vais à plus, on se parle pas SMS et on s'appelle.

-Oui.

Il m'embrassa une dernière fois puis rentra chez lui.

Il ne se passa rien le lendemain. Nous voilà donc le jour J. J'avais prévenue Émilie que je ne serais pas là ce jour là et le lendemain et que je la préviendrais si je m'absentais plus longtemps. Et je l'ai supplier de ne pas faire de bêtises.

Il est donc 14h25 et j'arrive devant chez Maxime.