• Chapitre 15

     

    Une fois tout les élèves dans le gymnase, la pros nous demande d'aller nous changer. Je me dirige vers le vestiaire des filles lorsque Maxime me tire vers lui et m'embrasse avant de me e sourire et de partir se changer. Je me change tout en discutant avec Émilie et un peu tout les filles de la classe sauf Alice. D’ailleurs je l'entends parler, je me demande avec qui. Je jette un coup d’œil et je vois qu'elle parle avec Nina, une fille calme, timide et gentille. Je la vois qui commence à s’énerver. Je me rapproche d'elles et pose ma main sur l’épaule de Nina en lui adressant un regard rassurant.

    -Y a Marine qui veut te parler, tu devrais vite y aller.

    -Merci.

    Alors qu'elle s’éloigne Alice la rattrapa.

    -Hey t'en va pas, j'ai pas fini de te parler.

    -Je crois qu'elle n'a pas très envie de continué à t'écouter, ta présence la dérange légèrement. Donc lâche-là.

    Les filles nous regardaient. Marine se rapprocha.

    -Viens Nina.

    Alice là lâcha fâché.

    Je suis repartis la plantant là, toute seule et je suis allée retrouver le reste des filles.

    -Merci Éléonore.

    -De rien c'est normal. Ne te laisse pas faire.

    -Je ne l'aime pas trop cette fille.

    -Moi non plus Marine.

    -Tu sais, on est toute avec toi.

    -Merci les filles, ça me touche beaucoup. Allez-y, je m'attache les cheveux et j'arrive.

    -OK.

    -Dépêche toi.

    -Oui.

    J'ai rangé mes affaires et je me suis donc fait une couette et alors que je sortais la peste me rattrapa et m'a dit à l'oreille : Tu me le paiera.

    -Mais oui c'est ça. Sache que tu ne me fais pas peur. Je ne te laisserai pas t'approcher de mon petit copain. Et puis une dernière chose, si j’étais toi je laisserai tombé parce que mon couple et plus solide que tu ne le crois car on s'aime avec Maxime.

    Je suis sortis et j'ai rejoins tout le monde. On avait handball. Mon équipe était contre celle de Alice, cela tombait bien, on a des compte à réglé. Nous étions largement en train de gagné, elle ne savais visiblement pas joué. Je ne suis pas très forte en Handball mais le reste de mon équipe était fort eux. La prof siffla le fin du match, nous avions gagnés. Malheureusement c'est Alice qui avait le ballon dans les mains à ce moment là.

    -Éléonore !

    Je me suis retourné et je me suis pris le ballon qu'elle avait violemment jeté sur moi.

    Tout le monde c'est précipité voir comment j'allais.

    -Alice, qu'est-ce-qui t'a prit ?! Miguel emmène là dans le bureau de la directrice et dis lui de la garder jusqu'à ce que je vienne.

    -D'accord madame.

    Alice la suivit, Miguel, lui n'était pas enchanté que cette corvée lui soit attribué.

    -Est-ce qu'elle à un petit copain ou bien sa meilleure amie, je ne sais pas , quelqu'un quoi pour l'accompagnée à l'infirmerie !

    -Moi, avaient répondu Maxime, Aaron et Émilie en même temps.

    -On y va tous.

    Je me tenais le ventre à genoux, Maxime m'a aidé à me levé et m'a embrassé le haut du crâne.

    Une fois arrivé à l'infirmerie, l'infirmière c'est tout de suite occupée de moi.

    -Veuillez sortir s'il vous plaît.

    -D'accord, je prendrais tes affaires de sport et je reviens.

    -Je vais me changé et je reviens tout de suite après ma Chipie.

    -OK.

    -Vous aussi jeune homme.

    Maxime ne voulais pas me quitter, et je ne voulais pas qu'il parte, je serra sa main pour qu'il comprenne. Il posa son regard sur moi.

    Elle vit nos mains et lâcha un soupir attendrit.

    -Très bien, tu peux rester.

    -Merci madame.

    -Bien, maintenant allonge toi sur le dos.

    J'ai obéis, elle à relevé mon t-shirt.

    -Je ne se pas ce qui c'est passé mais je comprends que tu es mal.

    -Une fille lui a lancé un ballon dans le ventre.

    -On peut dire qu'elle n'y est pas aller en doucement. Bon ce n'est pas très grave. Je vais te mettre de la pommade, un bandage et te donner un médicament pour faire passer la douleur.

    Elle prit la pommade, en mit sur mon ventre, c'était froid. Lorsqu'elle commença à l'étaler j'ai plissé les yeux.

    -Je te fais mal ?

    -Un peu.

    -Je suis désolée.

    -Je peux le faire s'il vous plaît .

    Elle fut un peu surprise pas sa demande, moi aussi en fait.

    -Je pense que c'est une bonne idée, tu seras sûrement plus délicat.

    Elle lui laissa sa place, lorsqu'il me toucha, je n’eus pas mal mais j'eus des frissons et mes joues devaient probablement rouge.

    -Je te fais mal ?

    -Non.

    Une fois mes soins terminé elle me prévint que je risqué d'avoir un gros bleu. Nous l'avons remercier et nous sommes sortis. Je fus surprise en découvrant une bonne partie de la classe devant la porte.

    -On a pas pus les empêchaient de t'attendre.

    -Ils s'inquiétaient pour toi.

    -Tu te sens comment ?

    -Bien, merci. Je vous remercie tous, vous n'avez pas besoin de vous inquiétez je n'ai rien de très grave.

    -Ouai, mais on va lui faire payer à l'autre peste.

    -Ouai.

    -Je vous remercie mais ce n'est pas nécessaire. On ferait mieux de rentrer chez nous, il est l'heure et j'ai envie de rentrer chez moi.

    -Oui.

    -A demain.

    -Ouai.

    Ils partirent tous sauf Valentin.

    -Je, … je voulais m’excusai de ce qu'à fait ma sœur, c'est inacceptable.

    -Tu n'y es pour rien. Au revoir.

    -Au revoir.

    Nous sommes tous rentrés. Maxime est resté avec moi, il ne voulait pas me laisser. Il est tard et je suis fatigué.

    -Tu veux monté de coucher ?

    -Ouai.

    -Bon, ben on va vous laissez tout les deux.

    -OK, monte avec ta princesse.

    -Je te la confie.

    J'ai dis bonne nuit à Antony qui étais venu passer la soirée avec nous lui aussi puis à Émilie.

    -Bonne nuit ma chérie.

    -Merci à toi aussi mimi.

    On est monté et une fois dans ma chambre je me suis dirigée vers la salle de bain suivis de près par Maxime. Je me suis approché du lavabo, j'ai pris ma brosse à dent et mon dentifrice pour me laver les dents. Maxime c'est placé derrière moi. Une fois que j'eus terminé il à plaqué son torse contre mon dos et a délicatement posé sa main sur mon ventre sans appuyé.

    -Tu as mal ?

    -Un peu mais ça va .

    -Y t'arrive vraiment que des mauvais trucs ces derniers temps.

    -Ouai. Mais on peut pas toujours avoie de la chance.

    -Il faudra changer ton bandage demain matin.

    -Oui.

    -Je le ferais.

    -Tu sais je peux le faire seule.

    -Mais j'y tiens.

    Je me suis retournée et j'ai passée mes bras autour de son cou.

    -Comme tu veux. Dis, ils repartent quand tes parents ?

    -Dans 3 jours.

    -Tu devrais être avec eux.

    -Non. Et puis ils comprennent très bien que je ressens le besoin de prendre soin de ma petite amie.

    -Tu es vraiment un amour.

    -Je sais.

    Ça réplique me fit rire.

    -Pourquoi tu rigoles ?

    -Pour rien.

    -Dis moi.

    -Non.

    -Tu te fiches de moi et tu veux même pas me dire pourquoi.

    -Je me fiche pas de toi.

    -Tu vas voir.

    Il a commencé à me chatouiller mais je me suis rapidement fais mal.

    -Éléonore ! Ça va ? Je suis désolé.

    -Je vais bien. Ne t'inquiète pas.

    -Si je m'inquiète. Je suis vraiment désolé.

    Je voyais bien qu'il était bizarre. J'ai tapoté sa joue pour qu'il me regarde je me suis vite mise sur la pointe des pieds et je l'ai embrassée.

    Il ne s'y attendait pas. Il a placé ses mains sur mes hanches et ma tendrement rendu mon baiser.

    -On va dormir ?

    -Oui, vas-y. Je me lave les dents et j'arrive.

    Je suis donc allée me coucher dans le lit. Il est venu me rejoindre quelques minutes plus tard. Je le trouve étrange, je ne sais pas ce qu'il y a mais ça ne me plaît pas. Je ne sais si c'est de ma faute, peut être que j'ai dis ou fais un truc de travers.

    Je me suis rapproché de lui et me suis mise sur le côté. Il a gardé les yeux fermés un petit moment puis a fini par ouvrir un œil.

    -Pourquoi tu me regardes comme ça ?

    Je n'ai pas répondu.

    -Éléonore ? Qu'est-ce-qui a ? Je t'en supplie réponds moi.

    -Qu'est qui ne va pas ?

    -Hein ? Je comprends pas.

    -Je sais pas ce que tu as mais tu étrange. J'ai fais ou dis quelque chose de travers ?

    -Chut.

    Il c'est rapproché et a plaqué ses lèvres contre les miennes. Je sentais qu'il y avait quelque chose de différent dans ce baiser. Lorsqu’il s'écarta je le fixa un moment et j’aperçus de la culpabilité dans son regard. Oui, aussi bizarre que cela peut paraître c'est ce que j'y ai vu.

    • De la culpabilité.

    -Quoi ?

    -Tu ressens de la culpabilité.

    -Comment tu ?

    • Je te connais par cœur. Ce regard... Tu avais eu le même cette fois où je m'étais fait mal parce que tu m'avais fait peur quand on était petit.

    -Je m'en souviens.

    -S'il te plaît, dis-moi.

    -Je m'en veux.

    -De quoi ?

    -De tout. Je devrais être capable de te protéger, de te rassurer. Depuis que cette fille est arrivée j'ai vu de l'inquiétude dans ton regard, j'ai vu des larmes roulaient sur tes joues. Je devrais empêchais tout ça. C'est mon rôle. Et jamais tu n'aurais dû être blessée aujourd'hui.

    Il était allongé sur le dos, le regard lointain et vague. Je sentis une grande tristesse m'envahir. Je me suis installée dans ses bras au risque de me faire mal. Je me dois d'être là, de le réconforter et de l'aider à sortir de cette idée idiote.

    -Tu vas te faire mal.

    -La douleur de ce foutu bleu ne pourra jamais me faire aussi mal que de te voir dans cette état. Tu as tord. Si je suis passée par tout ces états ce n'est pas ta faute mais celle d'Alice. Tu as tout le temps était là, pour me rassurer, pour sécher mes larmes. Et quand elle m'a lancée ce ballon dans le ventre tu as aussitôt était à mes côtés. Tu n'as pas à t'en vouloir. Tu n'es responsable de rien. Et là, tu es là, avec moi alors que tes parents sont chez toi, que tu ne les vois presque pas et qu'ils repartent bientôt.

    -Éléonore …

    -Tu es le petit ami parfait et je t'interdis de dire le contraire, OK ?

    Je m’appuyai sur un coude et le regardais dans les yeux. Il s'est mis sur ses coudes et c'est un peu relevé pour déposé un doux baiser sur mes lèvres.

    -Oui.

    J'ai souris.


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  •  

    Chapitre 14

     

    Nous sommes arrivés les premiers, nous nous sommes installés à nos places respectives. La prof entra dans la pièce sans faire très attention à nous. Pour tout vous dire elle ne m'aime pas trop. Bien sûre elle est satisfaite de mes résultats, mais ma concentration en classe laisse largement à désiré d'après ce qu'elle raconte. Bon je ne pas vraiment la contredire puisque je n'écoute que très rarement le cours. La sonneries à retentit et le reste de la classe est arrivée. Alice est rentrée mais non sans me regardée avec un noir et qui je crois se voulait menaçant. Son frère juste derrière elle, qui m'a rapidement jeté un coup d’œil. Ils se sont installés à la table qui se trouvait à ma gauche. Une fois toute la classe présente, l'appel fait, la prof commença son cours.

    -Hello, je vous annonce que à l'issu de ce cours, vous aurez un exposés à me rendre dans une semaine. Il sera fait par groupe de 2.

    Les élèves réagir normalement, ce n'étais pas la première fois qu'elle nous donnée des exposés, qui bien sûr devaient être rédigé en anglais.

    -Seul changement, c'est moi qui vais faire les groupes.

    La réaction des élèves se fut immédiate. Les exposés ne sons pas des parties de plaisir alors si en plus ont doit se retrouver avec quelqu'un avec qui on ne s'entend pas ou un truc dans le genre, c'est vraiment pas super. Immédiatement le pire des scénarios s’immisça dans mon esprit. Apparemment Maxime pensa à la même chose puisque en un éclair nos regard se rencontrèrent, avec au fond des yeux de la crainte. Il me prit la main et la serra légèrement, et m'a dit que ça allait bien se passer et qu'il ne fallait pas pensé au pire scénario, qu'il y avait peu de chance que cela arrive.

    -Ça suffit, c'est comme et pas autrement. Je vais vous citer les groupes.

    Elle à sortit une liste et à commencé à énoncer des prénoms, peu étaient ce qui étaient ravi de leur duo.

    Puis arriva mon tour.

    -Éléonore avec … Valentin et donc Maxime avec Alice, voilà.

    J'étais anéantis. Je faisais tout pour qu'elle ne s'approche pas de mon petit ami et voilà que la prof lui donne l'occasion rêvé. Cette nouvelle n'enchante pas Maxime non plus.

    -Madame, je suis désolé, mais je refuse d'être avec Alice, mettez moi avec qui vous voulez sauf elle.

    Je fus surprise par son geste, je ne m'y attendais pas mais cela me fis plaisir et me réchauffa le cœur. Le silence ce fit dans la classe.

    -Moi aussi madame, je suis désolée, mais je refuse de travailler avec Valentin, mettez moi avec qui vous voulez sauf lui.

    -Je suis navrés jeune gens mais aucun changement ne sera effectué.

    Nous nous sommes assis. Comment allions nous faire ?

    Le cours se déroula dans une drôle d'ambiance. Lorsqu'il fallut changé de salle Alice se dirigea vers nous, enfin vers Maxime je devrais dire.

    -Je suis tout à fait ravi de t'avoir pour partenaire. Tu me dis quand tu es disponible, chez toi ce serai bien sinon n'importe quand me conviendra. A plus tard mon chou.

    Et elle repartit en roulant du cul aussi vite qu'elle était venu. J'étais folle de rage mais j'avais aussi envie de pleurer. Son frère était encore là, que voulait-il ?

    -Euh … je suis désolé pour le comportement de ma sœur. Pour l'exposé, on fera comme tu voudras. A plus tard Éléonore.

    Il m'avait fait un petit signe de la tête puis était partit.

    Il était sûrement un gentil garçon, et je pense que je pourrais m'entendre avec lui si ça sœur n'était pas Alice et qu'il ne me dragué pas légèrement.

    -Je vais le tué.

    -Calme-toi, il est gentil, et puis il est resté poli et ne l'a pas trop dragué.

    -Émilie à raison, que suis-je sensé dire ? Elle t'a ouverte dragué sous mes yeux.

    -Oui, tu as raison, désolé.

    -Je propose que l'on aille en cours.

    -Oui, il n'y à rien d'autre à faire pour le moment. Nous réfléchirons à la récré.

    -Ouai.

    Nous sommes allés en cours de math. Je suis assise à côté de Aaron. Je n'écoute rien , je suis perdu dans mes pensées. Je vois bien qu'il s'inquiète pour moi. Je ne me sens pas bien, c'est vrai, j'ai envie de pleurer, j'ai l'estomac noué.

    -Monsieur ?

    -Oui Aaron ?

    -Puis-je amené Éléonore à l'infirmerie s'il vous plaît, je pense qu'elle ne va pas très bien.

    -En effet elle est blanche comme un linge. Allez-y.

    -Merci monsieur.

    Je me laissa entraîner par Aaron sous le regard un peu surpris de tout la classe et inquiet de mes ami(e)s.

    Il m'emmena sur un banc de la cours.

    -Tu te sens un peu mieux ?

    Pour une raison que j'ignore, je me sentais un peu mieux, alors j'ai hoché la tête.

    -Tu m'as fais peur.

    -Désolée.

    -Allez vas-y, pleure.

    -Hein ?

    -Je vois bien que tu es triste alors vas-y, lâches toi.

    Sans que je puisse me retenir mes larmes on commençaient à tombés, les unes après les autres. Aaron, m'a prit dans ses bras et m'a dit des choses réconfortante, jusqu'à que j'arrête de pleurer.

    -Tu sais, tu n'as pas à t'inquiéter, Maxime t'aime de tout son cœur. Cette situation, lui fait peur et le rend triste lui aussi tu sais. Me regarde pas comme ça. Il m'en a parlé, sans m'en parler. Il n'aime pas te voir dans cette état, ça le rend malade, comme toi tu as mal au cœur quand tu le vois triste et inquiet. Et puis, tu as peur qu'Alice te pique Maxime mais c'est pareil pour lui et Valentin et toi. Tu sais que Valentin n'a aucune chance, Maxime sais qu'Alice n'a aucune chance mais vous ne cessez pas de douté lorsqu'il s'agit de l'autre.

    Il avait raison, je devais avoir encore plus confiance en Maxime et en ses sentiments pour moi. Je devais resté forte, ne pas montré à cette peste une seule once de faiblesse, je ne dois pas me laissé abattre, je dois me battre pour Maxime.

    -Merci Aaron.

    -A ton service.

    J'ai fais un gros câlin à Aaron, grâce à lui je me sentais mieux.

    Lorsque la sonnerie annonça la récréation je réalisa que nous avions passé plus de temps dehors que ce que je pensais.

    -Viens, on va gardé la place pour pas que les la sœur et le frère des enfers nous piquent notre arbre.

    -Oui.

    Une fois installée nous avons attendus le reste de la bande, on a pas attendu très longtemps.

    Lorsqu’Émilie m'a vu avec Aaron elle à balancé son sac à Antony et a couru vers moi pour me prendre dans ses bras.

    -Tu vas bien ? Tu as quoi ? Tu as pleuré ?

    -Calme-toi. Je vais bien.

    -Je me suis inquiétée.

    -Je sais, je m'en excuse.

    -Tu es pardonné.

    -Tu vas l'étouffée si tu continue et je sais pas ce que tu as mis dans ton sac mais tu m'as assommé avec.

    -Oh, je suis désolé mon chéri .

    -Arrête avec ce surnom, a-t-il dit en rougissant.

    -Ahahah il est tout rouge.

    Émilie m'a lâché et à rejoins son amoureux. Maxime c'est approché et il m'a prise dans ses bras.

    -Je suis désolée de t'avoir inquiétée.

    -C'est pas grave, le principal c'est que tu te sentes mieux.

    Il desserra son étreinte, et posa son front contre le miens.

    -Je t'aime.

    -Je t'aime aussi.

    -On vous dérange pas trop les amoureux ?

    -Si un peu.

    -Et on vous dérange toujours si on vous dis que Lucas et Jules on eu une super idée pour vous aidés ?

    -Tu as dis quoi ?

    -C'est quoi ?

    -Dîtes nous vite.

    On c'est assis sous la demande de Jules et Lucas.

    -Bon, tu commences ?

    -D'accord, c'est tout simple, Éléonore tu vas inviter Valentin chez toi après les cours et …

    Maxime le coupa.

    -Jamais, tu es malade ?

    -Laisse-le terminé.

    -Toi Maxime tu vas faire pareil avec Alice mais tu vas l'invité un peu plus tard.

    -Sauf que tu ne l’emmèneras pas chez toi mais chez Éléonore.

    -Tu poseras tes affaires comme si tu étais chez toi, puis tu monteras à l'étage et te rendra dans la chambre de Éléonore. Elle fera une drôle de tête.

    -Et tu lui sortira un truc dans le genre : Je t'avais pas dis que je restais quelques jours chez Éléonore, désolé, ça a du me sortir de la tête.

    Comme ça vous ferez vos exposés, chacun de votre côté mais Alice et Valentin ne pourront rien faire.

    -C'est une super idée.

    -Merci les garçons.

    -Vous êtes géniaux.

    -J'aimerais trop voir leur tête mais surtout celle de la vilaine sorcière.

    -Moi aussi.

    Nous avons ris de bon cœur.

    Ce problème n'était pas réglé mais cette idée me rassuré beaucoup.

    Lorsque nous dûmes retournées en cours c'était avec le sourire au lèvre. Je parlais avec Émilie et Aaron, lorsque Maxima passa son bras dans mon dos, je fus surprise sur le coup puis je fis de même et il s’immisça dans la conversation. Nous avions sport donc direction le gymnase.


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  • Chapitre 12

     

    Salut, je voulais m'excusez pour tout à l'heure. Je n'aurais jamais dû te dire ça, c'était … je sais pas comment décrire mes propres paroles envers toi et tes amis, j'espère que tu pourras me pardonné. Et si tu es toujours d'accord pour m’aidai, j'ai changé d'avis. Voilà bonne nuit.

     

    Il avait réfléchit et regrettait. J'allai l'aidé, je l'avais promis à mon père mais je ne lui rendrai pas la tâche facile loin de là.

    -Tu vas faire quoi ?

    -J'ai promis quelque chose à mon père, je vais le faire mais il à intérêt à s'accrocher.

     

    Je lui répondis.

    Pour te pardonné on verra ça. Et je t'aiderai car je l'ai promis à mon père. Rendez-vous à 8h30 dans le parc de cet aprem pour courir et prend des affaires pour te changé. On va bossé toute la journée et même peut être la soirée, donc un conseil va te coucher dès maintenant.

     

    Je mis un réveil pour 7h45 sur mon portable puis le posa sur ma table de nuit.

    -Je ferais attention de pas te réveiller demain matin.

    -D'accord.

    -Dit, Liam il court ou pas le matin des fois ?

    -Euh... ben ça lui arrive pourquoi ?

    -Tu crois que ça l'intéresserai de venir avec Hugo et moi demain matin ?

    -Je sais pas, peut être.

    Je repris mon portable et lui ai envoyé un message pour lui demandé, quelques secondes après j'ai reçu une réponse positive. Je me suis ensuite endormit rapidement.

     

    Mon réveil sonne, je l'éteins et me lève. Je vais dans la salle de bain pour prendre une douche après avoir prit des affaires.

    Une fois prête je suis allé dans la chambre de Liam, et je l'ai doucement réveiller pour lui dire que si il voulait venir courir il fallait qu'il aille se préparé puis je suis descendu dans la cuisine, j'ai sortit un verre, et la brique de jus de fruit, et en ai bu 2 verres. Puis j'ai préparé un pique nique vite fait. J'ai aussi sortit ce qu'il faudrait au garçon pour se faire à mangé à midi, car je le sais, je ne rentrerai pas à midi.

    J'ai mis le pique nique dans mon sac et l'est posé à l'entré, Liam est arrivé.

    -Salut.

    -Salut, si tu veux déjeuner vite fait, boire un truc ou autre vas-y on a un peu de temps.

    -Ouai je veux bien.

    Il a pris un verre de jus de fruit, et mangé une pomme.

    -On y va.

    -C'est partit.

    Nous sommes donc allés dans le parc, il n'était pas encore là, donc nous nous sommes échauffés, il est arrivé et nous avons fait environ une dizaine de kilomètre et il était 11h10.

    -Bon Liam, tu n'as qu'à rentré, je t'ai laissé un papier sur le contoir. Tu prépareras à mangé, tu as toute les instructions et si tu as un problème tu m'appelles, toi tu viens avec moi.

    -D'accord à plus tard.

    -Ouai.

    Hugo et moi, on marchait ( sérieux ? --' ) et nous sommes finalement arrivés à l'arrêt de bus et une fois ce dernier arrivé, nous sommes montés. Nous avons mangés ce que j'avais préparé et au bout d'un petit moment nous sommes arrivés à destination.

    -Euh... pourquoi on est là ?

    -Parce que.

    Il ne comprenait pas, c'est vrai pourquoi je l'emmène dans une école de danse pour enfant ? Pour qu'il retrouve la joie de danser et qu'ils se rappelles pourquoi il danse, ce qui lui a donné envie de dansé …

    Après plusieurs heures nous reprenons le bus.

    -Alors ?

    -C'était génial. Je comprends mieux pourquoi tu m'as emmené ici.

    Comment tu as su que ça pourrait m’aidai ?

    -Parfois quand on a des problèmes il faut retourner au commencement.

    -Merci

    -Pas la peine de me remercier. Mais je te préviens, j’espère que tu as encore de l'énergie car on est loin d’avoir terminé.

    -Comment ça ?

    -On va au studio, ou j'entraîne Jonathan.

    -Jonathan ?

    -Un ami à moi qui est venu de France car il s'est inscrit à un concours de danse/chant et qu'il m'a demandée d'être sa coach.

    -Ah ok.

    Le bus arrivé, nous descendons et je me dirige vers le supermarché le plus proche. Je rentre et il me suit.

    -Maintenant même si c'est pas très intéressant, tu as pas le choix. Ton alimentation, au moins jusqu'à ton audition, tu manges sainement.

    Je lui est montré plusieurs idée de repas. Une fois fait j'ai acheté des trucs pour que l'on mange vite fait ce soir.

    En se rendant au studio je suis allé passé une commande pour que le repas soit livrés au garçons avec un petit mot expliquant que je rentrerais tard.

    Une fois dans le studio on c'est entraîner. Je lui ai donné des astuces etc … Il est 21h25, on vient à peine de commencer et mon téléphone sonne. Je le prends et décroche.

    -Allô ?

    -Allô, Éléonore, c'est Niall.

    -Ah salut Niall, ça va ?

    -Euh... oui et toi ?

    -Oui. Attends 2secondes.

    -OK.

    -Hugo, pause de 10-15 minutes et profites en.

    -Sauver, je sais pas qui c'est au téléphone mais merci.

    -C'est bon.

    -Tu rentres quand ?

    -Ben j'en sais rien mais tard m'attendez pas.

    -Ah ok. Tu es avec Hugo ?

    -Ouai, cet après-midi je l'ai emmené dans une école de danse pour enfants et ça a eu les effet que j'attendais, et là, je lui donne des astuces et l'aide à retrouver ce qu'il a perdu.

    -OK.

    -...

    -Y a Louis qui te dit salut et qui te fais un gros bisou.

    -Tu lui dis que je lui fais un bisou moi aussi. Et si je fais ça, c'est pas par plaisir tu sais. Je l'ai promis à mon père et si je reste tard c'est parce que plus vite j'aurais terminé plus vite je serais libre. ( Pour quoi je me justifie ? )

    -Je comprends, bon je vais te laisser à plus tard et fait attention.

    -Oui ne t'inquiète pas a plus.

    -Ouai.

    Puis j'ai raccroché.

    On c'est remit au travail, nous avons travaillé toute la nuit, avec des pauses bien évidemment, notre programme a été : danse, pause, cappuccino, danse, danse, pause … Il est 7h40.

    -Bon va prendre une douche et te changé pour rentrer chez toi, j'irai après toi.

    -D'accord.

    Il c'est exécuter.

    -C'est bon vas-y.

    -Merci , tu peux rentré. Donc j'ai terminé juste un truc, va dormir et reposes toi. Jusqu'à ton audition au moins, mange correctement, dors bien, et continu à t'entraîner mais ne dépasse pas plus que possible tes capacités et donne moi les réponses pour l'audition, et si tu as un problème rappelle toi ce que tu as réappris.

    -Oui, c'est promit encore merci.

    Je suis allé prendre une douche, je me suis habillée et je suis rentrée. Une fois devant la maison, j'ai vu que toute les lumières étaient éteintes, ils dorment tous encore . Je rentre donc en silence.

    Il est 8h10, je décide donc de préparé le petit déjeuner, des gaufres.

    Au bout d'une trentaine de minutes, j'ai terminé, je sors donc de quoi boire, de quoi accompagner les gaufres …

    Tout à coup, j'entends du bruit dans l'escalier, ce sont les garçons.

    -Salut les garçons.

    -Salut …

    -Euh... ouai salut.

    -Ah oui et merci pour le repas d'hier soir.

    -Avec plaisir, j'espère que vous avez aimé.

    Louis poussa, Liam et Harry qui était devant lui pour ce précipiter devant moi et me prendre dans ses bras.

    -Tu m'as manqué mon petit chaton.

    -Je me suis pas absenté longtemps.

    -Tu as terminé ?

    -Ouai.

    Il m'a sourit et c'est écarté de moi. Liam c'est rapproché, il me regardait bizarrement.

    -Je peux te posez un question ?

    -Oui vas-y .

    -Tu as dormis ?

    -Non, on à travailler toute la nuit.

    -C'est bien ce que je pensais.

    Niall est arrivé, il m'a regardé, puis la table et a fait encore quelques allez-retour.

    -Mon estomac et moi on te remercie pour le petit déjeuner mais tu aurais dû monté te coucher donc.

    Il s'est approchée, m' a prit en sac à patate sur son épaule et m'a emmené dans la chambre.

    -Tu te changes et au lit. Si tu veux des gaufres, dit moi combien et ce que tu veux avec.

    -Euh... je veux bien, 2 gaufres, 1 chantilly caramel et l'autre nutella chantilly.

    -OK ça marche à tout de suite.

    -Oui.

    J'ai pris une douche, je me suis donc mise en pyjama ce que ça fait du bien. Je me suis mise sur mon lit , c'est vrai que j'étais épuisée, Niall est rentré avec un plateau je lui est sourit il s'est mit à côté de moi et à manger ce qu'il avait amené pour lui et moi je mangé ma part.

    -Merci.

    -C'est à moi de remercier c'était trop bon.

    -Je suis contente que tu aimes.

    -Je ne suis pas le seul. Bon allez maintenant dodo.

    -Mais vous allez faire comment à midi ?

    -On se débrouillera. Depuis qu'on est là, on est un peu des boulets.

    -C'est pas vrai. Je suis contente que vous soyez là. En vérité ça fait longtemps que j'ai pas été aussi heureuse.

    -Mais tu cuisines tout le temps pour nous, tu te lèves tôt exprès le matin j'en suis sûre. Tu as l'air de beaucoup aimé lire et tu n'as pas touchée à un livre depuis notre arrivés. Tu n'as pas invité d'ami(e)s, on habite chez toi … etc … j'ai l'impression qu'on est un poids pour toi, c'est limite si on est pas des enfants dont tu dois t'occuper.

    -Je cuisine pour vous parce que ça me fait plaisir, normalement je ne devrais pas savoir cuisiné, mes parents sont plutôt riche, donc voilà, sauf que comme mes parents partaient souvent j'ai demandé à la cuisinière de m'apprendre. Mais je n'ai jamais pu cuisiné pour qui que ce soit. Et puis si je n'ai pas lu c'est derniers tant c'est parce que j'en ai pas eu l'occasion. Vous habitez ici parce que je vous l'ai proposés et que j'AI tout arrangée. Je me lèves tôt parce que je me réveille tôt. Je n'ai pas invités d'amis parce que je n'en ai pas au lycée, le restes sont soit en France ou vous les avaient déjà rencontrés.

    Et non vous n'êtes pas un poids pour moi ni des enfants dont je dois m'occuper...

     

    En disant cet dernière phrase mon regard avait changé, et bien qu'il se posait des questions il n'a rien dit.

    -Bon, ben merci pour tout, allez ouste au lit.

    Je rigola.

    -D'accord je me suis couchée.

    -Dors bien.

    -Merci.


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  • Chapitre 13

     

    Après avoir chanté il était repartit s’asseoir à sa place. Le reste du cours a été assez calme et le reste de la matinée aussi. L'heure de filer au self était finalement arrivée, Antony et Aaron ne faisaient que dire qu'ils avaient faim. Une fois au réfectoire nous avons pris un plateau et sommes allés nous asseoir. Alors que nous attendions le reste du groupe Alice et Valentin arrivèrent. Elle le tirait vers nous.

    -Salut, on peut se joindre à vous ?

    -Non !

    -Pourquoi ?

    Elle parut tout à coup moins heureuse et optimiste.

    -Ces places sont prises.

    -Je ne vois personne pourtant.

    -On attend du monde.

    -Dommage pour eux, ils avaient qu'à arrivés plus tôt.

    Elle allait s'installer à côté de Maxime tout en ordonnant à son frère de s'asseoir en face mais au dernier moment Annie arriva et s'installa à côté de mon petit ami en me faisant un clin d’œil, je murmura un ' merci ' tout en souriant.

    -Salut, désolée pour le retard.

    -Le prof nous a retenu.

    Valentin qui allait s'asseoir un peu gêné se retira et Marrina prit place à côté de Aaron.

    -Hey ! J'allais m'asseoir, va voir ailleurs.

    -Non, c'est ma place, avec MES Ami(e)s et je pense qu'on est tous d'accord pour que ce soit toi qui aille voir ailleurs.

    -Viens Alice.

    -Non.

    -Écoute ton frère il est moins stupide que toi.

    Elle le regarda d'un regard noir avant de tourné les talons et de chercher une nouvelle table libre pour elle et son frère.

    -Heureusement que vous êtes arrivés.

    -Ouai.

    -Elle a vraiment l'air de vouloir s'incruster.

    -Oui.

    -J'aime pas ça.

    -Moi non plus.

    -Je crois que c'est le cas de chacun de nous.

    -Oui.

    -Bon mangeons, je meurs de faim.

    -Ouai.

    On a tous un peu évité de reparlé de ça mais on y pensé tous. Comment allions nous faire si elle cherchait tout le moyens possible pour se rapproché de Maxime ? Nous ne pourrions pas toujours tout éviter, et cela m’inquiète un peu. Je ne sais pas de quoi elle est capable, mais je m'attends au pire. Elle trouvera une solution pour nous approché j'en suis certaine et évidemment cela ne me remplis pas de joie.

    Une fois le repas terminé on sort dans la cours pour nous installés au pieds de nôtre arbre. Nous fûmes surpris de découvrir que quelqu'un y était déjà, mais moins en reconnaissant Alice, son frère n'était pas avec elle. Nous soupirâmes, alors c'était la seule solution qu'elle avait trouvée ? Et bien tant pis pour nôtre arbre.

    -Venez on va là-bas.

    Nous le suivîmes, Marinna se retourna un instant pour regardé la tête que faisait Alice, et d'après elle c'était comique à voir. Elle était énervé, normal, nous l’empêchions de s'approchait de sa cible.

    Alors que j'allais m'asseoir, Aaron m'a fait tombé dans ses bras.

    -Chipie, viens avec moi.

    -Rends moi ma petite amie.

    -Faut savoir partagé.

    -Je partage, mais pas ma princesse. Et puis je la partage bien un peu puisque c'est ta meilleure amie.

    -Oui c'est vrai. Bon je suppose que je n'ai pas d'autre choix que de te laissé partir dans ses bras.

    -On dirai, en effet. Mais je suis sûre que Marinna sera ravi de prendre ma place, ais-je dis en leur faisant un clin d’œil.

    Il me lâcha, à peine étais-je sortis des bras de mon meilleur ami que Maxou m'attira dans les siens.

    -Tiens.

    Antony tendait une sucette à Maxime, il en avait donné à tout le reste de la bande.

    -Et moi ?

    -Désolé, Émilie en a mangé une ce matin et c'est toi qui a perdu à plouf plouf.

    -Pas juste. Méchante Émilie.

    -Désolée, mais elles sont trop bonnes.

    -Haha trop sympa Émilie.

    -Ben quoi, qu'est-ce-que j'ai dis ?

    -Tu luis dis que tu es désolée mais tu lui dis juste après qu'elles sont trop bonnes, en gros tu lui donnes envie.

    -Oups.

    Je fis semblant de bouder. Maxime déposa un bisou dans mon cou.

    -Arrête, lui avais-je demandé en me tournant vers lui.

    Il se mit à sourire, comme si il était satisfait de quelques chose. Je n'ai pas eu le temps de posé une question qu'il plaqua ses lèvres contre les miennes, je répondis automatiquement à son baiser. Je fus surprise lorsqu'il voulu approfondir le baiser, mais ne le lui refusa pas. Nos langues dansaient, je pus percevoir le goûts de la sucette, framboise. Au bout de quelques instants nous séparâmes.

    -Alors ?

    -Quoi ?

    J'étais gênée, que voulait-il dire par ' Alors ? '

    -Ben le goût de la sucette.

    -Ah ça … Framboise.

    -Gagné.

    -Elles sont trop bonnes t'as vu ?!

    -Goûté je dirai plutôt.

    -Oui bon bref.

    -Euh... ouai.

    J'étais un peu gênée par ce baiser que je venais d'échanger avec Maxime.

    -Alors, c'était comment ?

    -De quoi ?

    -Ben il embrasse bien Maxime ? me demanda-t-il sur un air moqueur.

    Lorsqu'il avait dit ça, j'avais sentis le rouge me montait au joue, je devais rougir à un point que cela devait être impossible de me louper.

    Je n'avais pas répondu, gênée et un peu sous le choc de sa question. Tout les autres me fixaient avec une sourire amusé enfin presque puisqu'Annie était presque morte de rire. Tout le monde s'amusaient apparemment de ma situation. Espèce de traître !

    -Alors ? Demanda-t-elle entre deux rires.

    -Arrête tu vois pas que tu les gênes.

    -Oui, regardes-les ils sont tout rouges tout les deux.

    -Ouai j'avoue .

    -Arrêtez de vous moquez.

    -Désolé, mais c'est trop.

    -Tu as toujours pas répondu à ma question.

    -Pourquoi tu me demandes ça ?

    -Ben c'est la première fois que vous vous embrassez comme ça.

    -Du moins, en public.

    -Mais arrêter de nous regardez comme ça. Vous aimeriez que je vous pose cette question ?

    -Pas de problème, Aaron embrasse très bien.

    -Pareil pour Léon.

    -Idem pour Antony.

    -STOP, c'est bon j'ai compris.

    -J'ai une idée.

    -C'est quoi ?

    -Et bien je veux connaître sa réponse donc puisqu'elle veux pas répondre on va faire autrement.

    -Tu veux dire quoi par là ?

    -Viens.

    -Ben c'est pas que je veux pas enfin même si je la sent très mal cette histoire mais je suis prisonnière.

    - Je suis sûre que si je te dis que ça va faire chier l'autre tu seras tout à coup plus enthousiaste pour me suivre.

    - Peut être ….

    - Maxime.

    -Non.

    -Allez.

    Il me regarda dans les yeux pour me demandé ce que je voulais, je lui fis un petit signe de la tête. Il me lâcha. Et Aaron m'emmena plus loin et me dit :

    -Si il embrasse bien, après que tu sois repartis dans ses bras, ré-embrasse le, je prendrais ça pour un oui.

    -Quoi !

    Je n'ai pas eu le temps de dire un seul mot de plus qu'il m'avait ramené, une fois dans les bras de Maxime, il me regardait avec un sourire en coin, les autres me fixaient.

    -Mais arrêtez, vous êtes stressant.

    Il arrêtèrent mais nous regardaient du coin de l’œil.

    Sous le regard insistant de Jules, je me décida. Je regardai Maxime qui lui parlait avec Antony.

    Alors qu'ils étaient dans un tout petit silence, je tapota la joue de Maxime, il se retourna vers moi et je l'embrassa par surprise. Il fit un tout petit bond, mais lorsqu'il eu reprit ses esprits, il répondit à mon baiser. Je lui demanda accès à sa langue, se qu'il accepta rapidement.

    Nous finîmes par nous séparés à bout de souffle, Maxime souriait, Jules avait un grand sourire et les autres nous fixaient les yeux exorbités, enfin c'est surtout moi qu'ils regardaient.

    -Bon, ben j'ai ma réponse.

    -Ouai, content ?

    -Très.

    -Alors comme ça, j'embrasse bien ?

    -Tais-toi, dis-je en baissant la tête, rouge de honte.

    Il prit mon menton entre ses doigts et m'embrassa légèrement.

    -Oh My God !!!

    -Quoi ?!

    -Tout à l'heure quand Maxime t'a embrassait, Alice vous regardait avec un regard noir, et là il y avait son frère, et je vous dis pas la tête.

    -Oh, non j'ai loupé ça.

    -Dîtes, son frère il est un peu bizarre.

    -Ben, ça dépend de ce que tu appelles bizarre.

    -Je ne sais pas, mais il regarde fixement Éléonore, sauf lorsqu'elle le regarde qu'il détourne le regard.

    -Ouai, il te porte pas mal d'attention.

    -Sauf que ça se voit moins.

    -Oui, il est plus discret que sa sœur. Il drague en quelques sortes Éléonore mais il le fait de façon à ce que ça se voie pas trop, il joue la carte de la finesse.

    -Il est plus sournois quoi.

    -Non, c'est pas de la sournoiserie. Je pense qu'il est juste plus réservé que ça sœur, et que à la place de se faire détesté il préfère essayer d'être invisible et de passé des messages de façon subliminal.

    -Oui.

    -Bon, ça va malheureusement bientôt sonné, on ferai mieux de commencé à se mettre en route.

    -Je suis pour.

    -Pareil.

    On c'est levé et avec Maxime, Aaron et Émilie, ( Lucas à accompagné Lucie ) nous sommes allés en Anglais.


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