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Chapitre 21
Nous nous sommes donc rendus en cours sans un mot. Une fois devant la salle de cours, le stress est un peu monté en moi. Que va dire Lucas pour expliquer notre retard ? Lucas frappe à la porte, nous entendons un « Entrez », il ouvre la porte, il entre, nous le suivons de près.
-Bonjour monsieur.
-Bonjour, vous avez 15 minutes de retard, puis-je savoir où vous étiez ?
-Bien sûr. Je terminais quelque chose dans la salle des délégués et Maxime et Éléonore ce sont portés volontaires pour m'aider lorsqu'ils ont vu que j'avais bien besoin d'un petit coup de pouce.
-Je vois, cependant …
-Monsieur, n'est-ce pas vous qui nous a répété qu'il faut aider son prochain ?
-En effet... Allez vous asseoir, je laisse passer pour cette fois mais que ça ne devienne pas une habitude.
Je suis aller m'asseoir à ma place, à côté d’Émilie, en m'y rendant Lucas m'a chuchoté un : «Bien joué ».
-Vous êtes en retard.
-Je sais.
-Je suis certaine que ce n'est pas vrai.
-De quoi ?
-Que vous avez aider Lucas.
-Je ne vois pas pourquoi ce ne serait pas vrai.
-On ne me la fait pas à moi. Allez raconte moi tout.
-Il n'y a rien à raconter.
-Menteuse. Dis moi tout, allez, ne te fais pas prier !
-OK, OK.. Maxime à insisté pour que je lui dise ce qui n'allait pas, une fois fait, on est tombé sur Lucas et il nous a couvert puisqu'on étaient à la bourre sans aucune raison valable aux yeux du prof.
-Rien de très intéressant, je suis déçue...
-Tu t'attendais à quoi ?
-Je ne sais pas moi ! A quelque chose de beaucoup plus trépidant en tout cas.
-Désolé de te décevoir.
-Je ne vous dérange pas mademoiselle ?!
-Excusez-nous.
Ils nous regarda avec un regard qui n'était pas très … comment dire... chaleureux.
Les heures passèrent de la façon la plus banale qui soit. La fin des cours arriva enfin. Émilie et moi rentrâmes accompagnées de Maxime. Une fois à la maison, Émilie sc'est dirigé vers la cuisine pour prendre le paquet de cookies dans le placard au-dessus de l'évier et elle est allée regardé les Simpson. C'est son rituel, après elle éteindra la télé, ira rangée la boîte et montera faire ses devoirs.
-Émilie.
-Oui ?
-On monte.
-OK.
Comme dit, nous sommes montés dans ma chambre. J'en suis ressortis quelques minutes pour aller chercher une petite valise. Je l'ai posé sur mon lit et y est rangé mon pyjama, une tenue pour le lendemain et tout ce dont j'aurais ou je pourrais avoir besoin. Maxime, lui, était assis sur la chaise de mon bureau et me regardait faire Une fois que j'eus fini, il s'approcha de moi et m'embrassa. Il m'a fait reculé jusqu'à mon lit, jusqu'à ce que je finisse allongé sur ce dernier, Maxime au dessus de moi.
-Tu veux pas annuler ?
-Non.
-Tu en es certaine ?
-Oui. Je ne vois pas pourquoi je ferais ça.
-Pour rester avec moi.
-On a passé toute la soirée d'hier ensemble et je ne sais combien d'autre avant.
-Ce n'est pas toi ce matin qui disait que tu avais envie de rester avec moi, rien qu'avec moi.
-Si.
-Et là, tu veux pas rester avec moi.
-Oui.
-...
-Comme ça, peut être que je te manquerai et que la prochaine fois tu préféreras qu'on reste en amoureux.
-Tu es sérieuse ?
-Non.
-Alors explique moi ta véritable raison.
-J'ai accepté la proposition d'Aaron, et j'ai pas envie d'annuler. Je l'adore et j'ai bien envie de passé la soirée avec mon meilleur ami. Je ne vois pas ce qu'il y a de compliqué là dedans. Cette après-midi ça ne te posait pas tant de problème que ça. En plus toi aussi tu sors, tu vas voir Antony et les autres.
-Je comprends. Mais … Aaron est ton meilleur ami, OK, j'ai confiance en lui mais il en reste tout de même un mec et tu sais bien que je n'aime pas te savoir avec un autre mec, quel qu'il soit...
Oui j'étais d'accord, et je le suis toujours mais bon … Oui c'est vrai mais j'aurais annulé pour rester avec toi. Mais on dirait que je vais tout de même passé la soirée avec eux.
-Et puis ça te fera du bien de passer du temps avec eux, ce sont tes amis, les miens aussi mais bon tu m'as comprise. Tu n'as aucun soucis à te faire. Aaron c'est … Aaron.
-Très convaincant et très juste.
-Te moquespas de moi. Aaron c'est mon meilleur ami mais aussi le frère que je n'ai pas. Oui je l'adore, je pourrais même dire que je l'aime.
Il se raidit à mes paroles avant que je ne puisse terminer ma phrase.
-Mais pas comme toi je t'aime c'est tout à fait différent, c'est incomparable. J'aime aussi énormément Émilie, un peu comme une sœur elle aussi, pourtant tu n'es pas jaloux d'elle.
-Je devrais aussi être jaloux d'elle ?
-Tu n'as à être jaloux de personne.
-Je sais mais c'est dans ma nature je n'y peux rien.
-Je sais. Est-ce-que tu sais que tu es vraiment trop mignon quand tu es jaloux ?
-Ne te moque pas de moi.
Il s'est allongé à côté de moi. Je me suis installée contre lui.
-Je ne me moque pas de toi.
-Hum.
Nous sommes resté un long moment comme ça, puis Aaron est arrivé.
Toc toc
-Non
La porte s'est ouverte.
-Désolé mec, mais tu te rappelles que tu me la laisses jusqu'à demain matin.
-J'ai changé d'avis.
-Trop tard.
-Hey ! Je suis pas un objet !
-Je sais Chipie.
-C'est qu'une façon de parler.
-Je sais mais tout de même.
-Aller, debout .
Aaron est rentré dans la chambre, s'est placé devant le lit et m'a tendu les mains, j'ai fais de même, il me les a attrapé et m'a levé.
-Et moi ?
-Toi, tu te débrouilles pour lever tes jolies fesses de mon lit.
-Tu trouves que j'ai de jolies fesses.
-Lève-toi.
Il s'est levé et s'est rapproché de moi, je suis partie derrière Aaron.
-Je suis pas un mur protecteur.
-Please.
-Non.
Il s'est écarté, me laissant à la merci de mon petit ami.
-Méchant, Traître !
-Moi aussi je t'adore.
Maxime s'est approché, m'a attrapé par la taille.
-Alors, j'ai de jolies fesses ? Je suis ravi de l'apprendre.
-Contente que ça te fasse plaisir.
Il m'a sourit puis embrassé rapidement.
-Bon, on y va ?
-Oui !
-Non.
Je l'ai regardé dans les yeux.
-Bon, OK, OK.
-Merci.
On est descendu au rez de chaussée.
-Vous partez ?
-Oui, je vais avec Aaron, Maxime va passer chez lui avant d'aller se joindre au reste des mecs qui seront chez Antony.
-Je vais me retrouver toute seule en attendant.
-Annie va arriver d'une minute à l'autre. Pitié ne mettez pas le bazar, j'ai pas envie de devoir ranger votre bordel.
-T'inquiète. Allez, Filez !
Elle nous a fait la bise et nous a vraiment mis à la porte …
Une fois devant le portail, nous nous sommes dis au revoir puisque notre chemin se séparait.
-A demain mec.
-Ouai, prends bien soin d'elle.
-T'inquiète pas.
Il m'a prise dans ses bras, puis m'a embrassé.
-A demain mon cœur.
-A demain mon amour.
-Ce que vous êtes mignon.
On a légèrement rigolé. Maxime a commencé à partir de son côté alors Aaron et moi nous en avons fait de même. Une fois arrivé, j'ai déposé mon sac dans l'entrée et on a été sur le canapé.
-Avant tout, que veux-tu manger ce soir ? Pizzas ?
-Ça me va !
-Chorizos , jambon / champignons et 3 fromages au cas où on aurait super faim.
-Parfait !
-Bon, j'appelle pour la livraison, après on pourra parler pendant des heures et des heures sans être dérangé. Il faut dire que ça arrive de moins en moins souvent.
-C'est vrai...
-Ça me manque...
-Moi aussi.
-Alors faudrait qu'on s'organise ça plus souvent. Tu crois que Maxime sera d'accord ?
-Qu'il le soit ou non c'est pareil. J'ai encore le droit de faire ce que je veux.
-Je suis ravi de l'apprendre puisque je sens que tu vas me parler de quelque chose que tu ne peux pas dire à Maxime parce qu'il n'approuverait pas du tout.
-Tu me connais si bien.
-Je sais, je sais.
-Te jette pas trop de fleurs non plus.
-Bon raconte !
-D'accord. Alors en fait …
Je fus coupé par la réception d'un message. Puis quelques secondes plus tard, ce fut au tour d'Aaron.
-A croire qu'ils ont senti qu'on aller dire un truc intéressant et important et qu'il ont voulu nous couper.
-Oui, ils sont synchro.
-Ça, c'est peu de le dire.
-Je parie que c'est Marinna.
-Et toi Maxime.
-OK. On vérifie.
-Émilie !
On s'est regardé... Puis nous avons rit.
-1. On s'est totalement chier.
-Et 2. Nous aussi on est synchro.
-Ouai. Bon, on répond vite et tu me racontes !
-Ça marche, on fait comme ça.
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Bonjour à tous !
J'ai été absente pendant très longtemps et n'ai pas publié la suite de mes fictions. J'ai reçu de nouveaux commentaires qui m'ont fait réalisé que certaines personnes attendent encore la suite. J'ai donc décidée d'une chose : je vais publier les chapitres que j'avais écrit à cette époque là ! ( je ne modifierai rien, je me contenterai de corriger quelques unes des nombreuses fautes présentent ). Je tiens toutefois à préciser que je n'avais pas terminé la saison 2. Si les retours sont assez nombreux et que vous le souhaitez je pourrais éventuellement vous écrire une fin qui je tiens à le préciser ce fera en un seul chapitre je pense afin de clore définitivement cette histoire car pour être franche je ne tiens pas vraiment à la continuer car je ne me retrouve plus dedans. En effet, j'ai grandi et ce que j'ai pu écrire ne me plaît plus, les fautes d'orthographes assez nombreuses me choquent un peu etc... De plus, j'ai un nouveau projet sur lequel je ne vais pas m'étaler mais qui est beaucoup plus sérieux puisque ma manière d'écrire à évoluée avec moi. Je ne prendrai plus de plaisir à continuer je préfère donc mettre un terme à cette fiction. J'aimerais beaucoup que vous me laissiez des commentaires afin de me dire si vous souhaitez une fin ou non.
J'espère que cette annonce fera plaisirs à certains.
PS: Je pense vous publier un ... bonus si je puis dire. Il s'agit d'un texte que j'ai présenté à un concours de ma région ( j'ai rien gagné ) lorsque j'étais en seconde. J'espère que cela vous fera plaisir.
Je vous embrasse.
Lucie-Love-Kaito
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Chapitre 20
-Je
-Chuuttt
Il ne m'a pas laissé le temps de lui répondre. Lorsque j'ai ouvert la bouche il a rapidement posé son index sur mes lèvres. Il s'est appuyé sur son coude et s'est un peu relevé.
-Je le sais déjà.
Et il m'a embrassé.
Quelque secondes plus tard, j'étais allongé par terre, sous lui. Comment on en arrivé là ? Je n'en ai pas la moindre idée. Il m'a regardé avec un regard étrange et un sourire en coin légèrement sadique, je sentais que quelque chose de mauvais aller arriver. Je n'avais pas la moindre idée de ce qu'il allait me faire. Il a posé ses mains sur mes hanches et tout à coup s'est mis à me chatouiller. On a dû m'entendre crier, rire et le supplier de loin, de très loin. A peine s'était-il arrêter que je le fis basculer sur le dos et ainsi de suite, jusqu'à ce que je me lève et me mette à courir, pas très longtemps et pas très loin puisqu'il m'a vite rattraper et que l'on s'est à nouveau retrouvé par terre, lui allongé et moi à califourchon sur lui, dans l'herbe et presque en plein milieu de la cours du lycée. Cela est tout à fait normal.
-Ça va, je suis confortable ?
-Très .
-Ravi de l'apprendre.
On entendit la sonnerie.
-Déjà...
-Eh oui. Le temps passe vite lorsqu'on est bien.
-Oui. Mais moi je suis bien avec toi et j'ai pas envie de bouger.
-J'ai pas spécialement envie que tu bouges non plus mais...
Il me fit basculer ce qui me fit lâcher un cri de surprise. Maintenant le voilà à califourchon sur moi, les rôles ont été échangés.
-Je préfère comme ça.
-Hey ! Ça va pas la tête tu m'as fais peur. Je peux savoir la raison de se changement ?
-Je préfère comme ça tout simplement. Tu ne peux pas t’échapper.
-Comme si j'en avais l'intention.
-Ça va ? On vous dérange pas trop ?
-Très bien merci ! Et désolée mais si un peu, d'ailleurs si vous pouviez euh …
-Allez voir ailleurs si vous y êtes ?
-Oui ! C'est tout à fait ça.
-N'importe quoi. Bien sûr que vous ne dérangez pas. Aller, viens on y va.
Il commençait à se lever mais voyant que je ne bougeais pas il s'est réinstallé et m'a embrassé, j'ai attrapé le col de sa veste et je l'ai tiré un peu vers moi lorsqu'il voulu mettre fin au baiser, il comprit et m'embrassa encore un moment.
-Allez, on y va , me dit-il avec un sourire en coin à la fin de nôtre baiser .
Il se releva, me tendis ses mains que je pris et il me tira vers lui.
Je n'ai rien dis et nous avons rejoins nos amis. J'étais un peu déçu. J'adore mes amis plus que tout mais je n'avais qu'une envie, passer du temps avec Maxime, rien que tout les deux sans personne pour nous déranger, que lui et moi. Je n'ai jamais ressenti ce besoin avec autant d'intensité. C'est peut être la situation qui fait ça. Je suis assise contre son torse, je parle avec Émilie, Aaron et Antony , ils me racontent ce qu'il s'est passé lorsque nous sommes partis.
-Le prof vous a suivis puis il est revenu 5 minutes plus tard, seul.
-Il avait l'air sacrément en rogne contre vous deux, surtout toi Éléonore. C'était trop marrant !
-La tronche qu'il a tiré pendant tout le cours,surtout que personne n'écoutaient et bavardaient. Le Gros Bordel ! Il est devenu tout rouge et a crié : « Le cours n'est pas fini, ECOUTEZ SINON JE VOUS FAIS UN CONTROLE !!! ».
-Pas mal l'imitation.
-Merci.
-Ouais, et là y a tout le monde qui s'est regardée, qui a regardé le prof très attentivement et nous lui avons fait un très grand sourire.
-Et il a dit : « J'en peux plus, ils vont finir par me tuer. Vivement la retraite. » Et il s'est laissé tomber sur sa chaise, enfin , c'est ce qu'il voulait faire parce qu'il s'est retrouvé par terre. Tout le monde à explosé de rire. Et ça a sonné donc on s'est tous très vite cassé de là.
-J'aurais bien aimé voir ça.
-Ben c'est pas possible puisque c'est à cause de vôtre départ qui c'est passé tout ça. Merci pour ce beau spectacle auquel on a eu droit grâce à vous.
-Ouais que ce soit la scène trop mimi pendant le cours, la tronche d'Alice et la scène avec le prof, tout était parfait. Vous nous refaites ça quand vous voulez.
-Euh … on fera pas ça tout le jours.
-C'est quoi cette histoire avec Alice ?
-Ben quand Maxime et toi vous avez quitté la salle elle était limite en train de bouffer sa feuille. C'était mémorable !
-Oh que oui !, approuva Émilie.
-Et pourquoi Éléonore t'a embarquée ?
-Chipie ?
Je le regarda.
-Oui ?
-Qu'est-ce-que tu as ? J'ai l'impression que tu n'es pas totalement avec nous.
-Si, si.
-Pourtant tu ne parles presque plus et tu as un regard bizarre.
-C'est vrai que maintenant que tu le dis.
-Ah ! Mais y fallait pas le dire. Tu vois bien qu'elle a pas envie de parler.
Ils me connaissent bien tout les deux.
-Je vais très bien. Je parle pas parce que j'ai rien de spécial à dire, parce que je suis un peu fatiguée et que le prof m'a profondément endormit tout à l'heure et que je suis pas encore bien réveillée.
-Si tu le dis.
-Oui.
-Bon, explique-nous pourquoi tu as embarqué ton cher et tendre alors qu'on était en pleins cours.
-Je l'ai embarqué comme tu dis parce que je m'inquiétais pour lui à cause de la tête qu'il a tiré lorsque la sœur et le frère des enfers sont entrés en classe.
-Ah !!!!! C'est trop mimi.
Lucas et Lucie n'était pas là, on ne les voient pas beaucoup, toujours ensemble , je les envie. Lucas prend très au sérieux son rôle de délégué et ça lui prends malheureusement beaucoup de temps donc Lucie reste avec lui pour l'aider et pour être avec lui. Marinna, Annie, Léon et Jules sont arrivés plus tard. Il étaient coincés avec un prof. Marinna a fait un gros câlin à Aaron, il s'est levé et l'a embrassé, juste trop trop mignon ! Ils étaient arrivés en plein milieu de l'histoire. Là, c'est Annie qui vient de crier parce qu'elle trouve ça « trop mimi ».
-Et vous, y s'est passé quoi de vôtre côté ?
-Ben quand on vu que le prof nous coursait on s'est mis à courir, on est descendu et on s'est caché dans les toilettes des filles. Au bout d'un moment, on a regardé, il y avait personne donc on est vite sorti dans la cours. On a eu de la chance parce qu'on a croisé personne.
Et puis voilà quoi.
-Et comment ça se fait qu'on vous a retrouvés, toi à califourchon sur ma meilleure amie , dans l'herbe et presque en plein milieu de la cours ? Demanda-t-elle avec un sourire en coin et un regard moqueur.
-QUOI ?!?!
-Tu me le paieras.
-Moi aussi je t'aime ma chérie.
-C'est quoi cette histoire ?
-Je veux tout savoir !
-Désolé, je ne peux rien faire pour toi mon pote, j'ai vu la même chose qu’Émilie.
-Aucun commentaire.
-Je veux parler à mon avocat.
-Pff, vous dîtes vraiment n'importe quoi.
-Que veux-tu, qui se ressemble s'assemble, dit-il en passant ses bras autour de ma taille pour me serrer plus fort contre lui et il déposa un léger baiser dans mon cou.
-Arrête.
-Pourquoi à chaque fois tu me dis d'arrêter ?
Parce que tu me fais de l'effet à un point que tu n'as pas l'air d'imaginer, que tu me rends folle et que je veux te bouder parce qu'on est pas que tout les deux, même si ce n'est pas entièrement ta faute. Voilà pourquoi .
-Parce que.
Aaron regarda Émilie avec un regard qui voulez dire un truc dans le genre : Y a quelque chose qui va pas. Émilie hocha la tête en signe d'accord.
-Dis moi ce qui ne va pas, me chuchota-t-il.
-Tout va bien, ais-je répondu.
Il me souffla dans le cou, je n'ai rien dis, il a recommençait, au bout de la troisième fois je me suis retournée.
-Qu'est-ce-que tu fais ?
Il a sourit et a voulu m’embrasser mais j'ai tourné la tête.
-Ça va sonné on devrait y aller.
Il m'a laissé me relever et j'ai pris mon sac qu’Émilie m'avait ramené.
Tout le monde se leva. Alors qu'on se mettait en route, Maxime m'attrapa le poignet, voyant que je ne marchais plus avec eux ils s’arrêtèrent et nous regardèrent.
-Allez-y sans nous. On va pas tarder.
-Pourquoi ?
-Viens Annie.
-Oh... tu es pas marrant, je veux savoir moi.
-Dépêchez-vous.
-Vous inquiétez pas.
-A tout à l'heure Chipie.
-Ouais.
Une fois tous nos amis partis, il me regarda dans les yeux. Ah, ce que ses yeux peuvent me faire perdre tout mes moyens.
-Tu m'expliques.
Je libéra mon poignet de sa main.
-Quoi ?
-Ne fais pas l'imbécile s'il te plaît.
-Je peux faire l'idiote alors ?
-Élé …
-Allons-y.
Alors que j'allais passé à côté de lui il m'attrapa par les épaules et me fis reculé jusqu'à ce que mon dos touche le tronc de notre arbre.
-Je ne te laisserai pas partir avant que tu ne m'explique ce qui ne vas pas.
Ahhh qu'il m’énerve quand il me regarde comme ça, je suis toujours obligée de tout lui dire. Et son parfum... Ahhh méchant !
Tu veux savoir ? OK. Tu vas savoir.
-OK !
Je me suis jeté dans ses bras et je l'ai embrassé avec … « Passion » ? Il a été surprit mais maintenant, il est habitué aux surprises . Face à mon excès d'affection il ne s'est pas plein, au contraire je devrais dire. Il s'est rapproché de moi. Ça fait déjà un petit moment que la sonnerie à retentit, il n'y a plus personne dans la cour. On va être en retard, mais là tout de suite, j'en ai rien à faire, c'est le dernier de mes soucis. Nous finissons par nous séparés à bout de souffle.
-Je … ne … te comprends … pas trop … là, me dit-il haletant.
Je repris mon souffle avant de lui répondre.
-Je veux passer du temps avec toi, je veux constamment être avec toi, dans tes bras. Je voudrais qu'il n'y ai que toi et moi. Mais il y a toujours quelqu'un pour gâcher ces moments là. Tout à l'heure, j'étais bien avec toi, j'adore les autres et tu le sais très bien mais je n'avais envie que d'une chose, rester seule avec toi. J'étais juste un peu … frustrée on va dire.
Il m'a souri.
-Ne me refais plus jamais peur comme ça. Moi aussi, j'aurais aimé rester avec toi mais ça aurait pas été super sympa par rapport aux autres. Si tu veux on sèche tout le reste de la journée, et on la passe ensemble.
-Je tiens à la vie.
Il a sourit et m'a embrassé, il a posé ses mains sur mes hanches, j'ai passé mes mains dans son dos pour le serrer dans mes bras, je les ai fait remonté sur son torse puis je les ais passés dans ses cheveux .
-Et ben dis donc ! Il fait chaud ma parole !
Nous avons tout les deux sursauter à cette vois familière.
-Lucas … salut...
On s'est séparés, mais Maxime a quand même pris ma main dans la sienne.
-Salut, dit-il en rigolant.
-Qu'est-ce-que tu fais là ? Tu es pas en cours.
-Je pourrais vous retourner la question. Je finissais quelque chose dans la salle des délégués et en me rendant en cours j'ai vu des gens dans la cours et en allant voir ben je vous ais trouvés. Et vous ? Pourquoi vous êtes pas en cours ?
-Je devais parler avec Éléonore...
-Oui, parler. J'ai bien vu ça.
J'étais toute rouge. Certes Lucas nous avait déjà vu nous embrasser mais pas comme ça, en même temps c'était la première que ça devenait aussi « Intense »?
-Non sérieusement, c'est juste que ça s'est un peu … éternisé.
-Je vois. Bon on ferai mieux d'aller en cours.
-Euh … On a 10 minutes de retard, et aucune excuse valable à donner au prof.
-On est mort …
-Vous inquiétez pas, je gère.
J'ai regardé Maxime, il m'a regardait , on a regardait Lucas.
-OK.
-On te fait confiance.
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Salut tout le monde !
Oui je suis toujours vivante ! Je sais que je n'ai rien publié depuis un bon bout de temps et je m'en excuse. Je ne vais pas vous mentir, si je n'ai pas publié ces derniers temps, c'est tout d'abord à cause d'un manque de temps, oui je sais que je dis ça à chaque fois, mais c'est vrai, je ne m'attendais pas à ce qu'on ait autant de travail en seconde. Bref ! Ce n'est pas la seule raison : Pour dire toute la vérité : J'ai la flemme ! OUI ! Je suis désolé, mais quand j'ai fini de travailler, il est très rare que l'envie d'écrire ou de publié se fasse sentir, j'ai en temps normal envie de me détendre ( lire, traîner sur internet, regarder un film etc ... ). Donc je ne vais pas raconter des bobards, je n'ai pas envie donc je ne publie pas. De plus, en relisant les chapitres que j'ai écris auparavant ben je les trouve nuls pour certains, plein de fautes et cela tout simplement parce que je grandis. Mais d'un autre côté je sais que certaines personnes aiment ce que j''écris même si ça me parait un peu fou. Je ne vais pas vous promettre des chapitres rapidement car je ne veux pas faire des promesses que je ne tiendrai pas. Depuis quelques temps je n'ai pas envie de publier et tout, et je sais que si je me force, ça va me dégoûter donc je préfère laisser du temps passé et j'espère que l'envie et le plaisir que je ressentais à faire tout ça reviendra. Au cas où certaines personnes en concluraient que tout cela est pour vous annoncer que j'arrête ce n'est pas le cas, je prends juste une pause sans date de retour annoncé. Je ne quitte pas eklablog, je répondrais au commentaires et aux messages, c'est uniquement la publication qui est en pause.
Ah oui et je voulais vous la dire, si je n'ai pas publié pendant les vacances ( parce que je me doute que certains vont se dire : Oui elle dit qu'elle a pas le temps mais on sort des vacances et elle va essayé de nous faire croire qu'elle n'a pas eu le temps ) c'est pour les raisons citées plus haut, de plus 2 semaines ça peut passer très vite, comme tout le monde j'ai une vie et j'ai voulu profiter de mes vacances et j'ai écris, ( non pas pour mes fictions désolé ) une petite histoire ( on a le droit à 15 pages maximum avec un double interlignes, une torture pour moi qui avait fait beaucoup plus et qui ait du supprimer certains passages ) pour un concours d'écriture auquel je vais peut être m'inscrire. Voilà, je sais que la plupart s'en fiche ( oui je raconte un peu ma vie et la plupart s'en fiche notamment une partie qui ne s'intéresse qu'à mes chapitres ) , que certains n'auront pas lu, que d'autres n'auront pas pris la peine de lire jusqu'au bout ( merci à ce qui l'on fait ) mais tant pis.
Si je vous ai dis tout ça c'est parce que je me suis dis que je vous devais quelques explications.
Je vous souhaite une Bonne Année 2015 !
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Chapitre 13
A la seconde ou j'ai prononcé cette phrase il a rougit.
-Je ne vois pas ce que tu veux dire.
-Mais oui c'est ça. Moi tu m'as aidé maintenant c'est à moi. Alors au moins dit moi la vérité.
-
Bon d'accord mais tu n'en parleras à personne.
-
C'est promis.
-
Bon... oui c'est vrai j'aime Marinna.
Je la connais depuis la 4e comme presque toute la bande.
Je m'amuses à la taquinée,mais c'est juste parce que je n'ai pas le courage de lui dire ce que je ressens. Et puis je ne pense pas qu'elle soit amoureuse de moi. Tu sais bien qu'elle se chamaille beaucoup avec Antony, ils ont une forte amitié.
-
Comme tu viens de le dire ce n'est que de l'amitié.
-
Il n'y a qu'un pas de l'amitié à l'amour.
-
Cela dépend de l'amitié. Toi et moi on est ami. Tu te vois sortit avec moi ?
-
Non … je te vois comme ma meilleure amie, ma petite sœur mais pas comme une petite amie possible.
-
Donc tu vois. Et pourtant on est amis.
-
Merci, mais même …
-
Bon écouté moi il faut que j'ai une bonne occasion pour parlé avec les filles, et j'enquêterai sur les sentiments de Marinna. Et si elle a des sentiments amoureux pour toi je te la pousserai dans les bras mais il faudrait qu'après on est une belle occasions pour que tu lui avoue tes sentiments.
-
Oui, mais ça fait pas mal d’occasion.
-
T'inquiète pas pour ça.
DdriIiiINNnGggG
-
Bon ben allons finir nôtre demi-heure de techno et allons en S.V.T.
-
Oui
Dans les couloirs nous avons retrouvés Émilie, Antony et Maxime.
Emilie parlait avec Antony mais dès qu'elle me vit elle me sauta dessus. Antony me regardait l'air de dire tu es chiante, on parlait. Et Maxime me regarda avec un regard triste... déçu … je ne sais pas trop comment dire un peu le même regard que lorsque je l'ai vu aux côtés de Cynthia. Hum … non je dois rêver. Et Émilie qui me sortis de mes rêveries.
-
Éléonore où tu était on s’inquiétait. On savait que tu étais avec Aaron. Au fait parlé, mais de quoi ? Et pourquoi tu as pas parlée avec nous ? Et il t'a rien fait au moins.
-
Ne t’inquiète pas, je vous en parlerez mais à condition qu'on soit entre fille et en dehors du lycée. Ensuite bien sûre qu'il ne m'a rien fait. Et pour ce qui est du sujet de nôtres discussion je vous en parlerez mais avec la même condition que j'ai dites tout à l'heure.
-
D'accord a oui au faite on a tous prévu d'aller au cinéma demain.
Vous venez ?
-
Pour ma part oui et toi Aaron ?
-
Oui je viens aussi Chipie.
-
Cool.
On était arrivé on s'installa et lorsque le cours se termina ENFIN on se dirigea en S.V.T une matière que je n'aime pas plus que la technologie.
Le cours se passa dans un ennuie mortel.
Mais à la fin du cours alors que tout le monde ranger ses affaires le prof me demanda de rester à la fin du cours.
-Éléonore j'aimerai vous parlez avant que vous partiez.
Ce prof ne m'inspire pas confiance. Il avait l'air d'un gros pervers mais je ne juge pas les gens sans les connaître donc …
-Éléonore tu veux qu'on t'attende ?
-Non non c'est pas la peine.
-Bon et bien à tout de suite .
-A tout de suite Chipie.
Maxime les a suivis sans rien me dire.
-Vous vouliez me parlé monsieur.
-euh... oui viens t'asseoir ne reste pas debout.
-Merci.
ÂME EXTRA SENSIBLE S'ABSTENIR !!!
Je m’exécuta et me suis assise sur une chaise.
Il s'approcha de moi et se plaça derrière ma chaise.
Je ne sais pas trop pourquoi mais je commençais à avoir peur.
Il faisait des vas et viens sur mon bras.
-Euh … monsieur.
-Chut... chut
Il avait sa tête sur mon épaule.
Il commençait à m'embrasser dans le cou. Je … j'ai si peur.
-A... Arrêter.
-Soit une gentille fille et tait-toi.
Je sentais qu'il ne faisait pas trop attention à mes gestes. Je me lève brusquement, et commence à partir.
Pas de chance pour moi il me rattrape et me serre la poignée. Il me pousse contre un mur.
-N'essaye pas de t'échapper.
J'avais peur.
Je lui met une gifle, il est surpris et recule je tente a nouveau de m'échapper mais il c'est vite remis de sa surprise. Il me replaque contre le mur.
Je me débat mais qu'est-ce-que je peux faire contre un prof de 25 ans à peu près bien que je pratique des sports de combats et de défense, je suis paralysé il m'est possible de faire quelque chose.
Il commence à me caressait la taille.
ÂME EXTRA SENSIBLE, VOUS POUVEZ REPRENDRE VOTRE LECTURE !
-
MMAAXXXIIIMMEEEEEE
Je n'avais pas pu retenir se cri.
On dit que quand on est en danger on cris le nom de la personne la plus chère à nôtre cœur.
Quelqu'un entra en trombe dans la pièce.
-
Lâchez-là !!!
Je tourna la tête et Le vit.
Il était venu me sauver.
-
Maxime occupe toi de tes affaires et part en faisant comme si tu n'avais rien vu.
-
Je ne suis pas une ordure comme vous !
Voyant que le prof n'avait pas l'air de me lâché il se précipita et mit une droite au professeur qui tomba à terre.
J'avais les larmes aux yeux.
-Tu n'as rien ?
J'avais eu si peur, aucun son ne sortait. Je fini par lui faire signe que non. Il se retourna vers le prof qui s'était relevé.
-Vous êtes une enflure.
-Calme tes mots salle gamin.
Maxime lui remit un coup de poing, le prof retomba à terre. Il allait continuait à le frapper.
Je me jette sur lui et enlace son torse. Il était dos à moi.
-Arrête, … s'il te plaît arrête. C'est un enfoiré mais je ne veux pas que tu es d'ennuis. J'ai eu si peur mais tu m'as sauvée . Je sais qu'il le mérite mais si tu continues... toi aussi tu auras des problèmes … et je ne veux pas. Surtout si c'est à cause de moi. Alors pour moi s'il te plaît fait le pour moi.
Je laissais coulée mes larmes.
-Éléonore. Bon... allons-y.
Je le lâcha un peu à contre cœur et nous partions.
Mais avant de partir il a dit au prof.
-Essaye ne serait-ce que de toucher un seul des ses cheveux et je ne m'arrêterai plus .
Puis nous partîmes.
Un peu plus loin il s'arrêta.
-Il ne t'a rien fait ?
-Euh … non rien de grave … grâce à toi … si tu n'avais pas été là .
Mes larmes coulèrent une fois de plus. Il se retourna vers moi et s'approcha .
-Ne pleure pas, si il avait été encore plus loin il ne serait plus en vie.
-Merci …
Il m'accorda un sourire.
-Tu sais … j'avais vraiment eu peur ma voix était bloqué mais au moment ou elle c'est débloqué ton prénom est sortit naturellement.
-Normalement tu aurais du appelé Aaron cela aurait été plus logique.
-Hein et pourquoi j'aurais du appelé Aaron ?
-Normalement une fille appelle son petit copain et non un des copains de son petit copain mais bon.
-Attend mais je comprends pas trop.
-Laisse tombée.
On c'est ensuite dirigée vers la cafétéria.
Tout le monde voulait allé cassé la gueule du prof et allé le dénoncé auprès de la directrice.
On c'est mit d'accord que Lundi puisque la directrice était absente aujourd'hui on irai dénoncé le prof mais pas de violence. Les garçon voulait vraiment lui tapé dessus mais ils se sont résigné.
-
Ah oui et demain on se donne rendez-vous dans la parc à 14H00 ça vous va.
-
Moi ça me va.
-
Pas de problème.
-
Demain 14H00 dans le parc c'est noté.
Les autres on hoché la tête.
Pendant la récré rien de spécial ne sait passé. Maxime me parle le moins possible et je ne sais pas pourquoi, je pense qu'il croit que Aaronn et moi on sort ensemble.
J'ai expliqué au fille que je leur raconterai un jour ou l'on sera entre fille et en dehors du lycée elles ont toutes compris.
DddRRRrIIiInnGgGGGG
Tout les élèves de la 1°D sont rentrées chez eux car leur prof de l'après midi son absents.
Cours de … SPORT … Youpiiiiiii.
On est allé en cours de sport et nous sommes séparé des garçons pour allé nous changé dans les vestiaire.
La prof entra dans nos vestiaires.
-Les deux nouvelles je tiens à vous dire que l'on va faire gymnastique.
Puis elle est repartit.
-Hein gymnastique mais je n'ai pas pris mon justaucorps .
-HAHA vous avez entendu les filles la nouvelle n'a pas de justaucorps. Et ben tu n'as qu'à y aller en sous vêtement.
-Alors toi ferme là.
-Arrête Éléonore, je ne sais pas du tout comment je vais faire.
-Ne t'inquiète pas pour ça . Quand à toi que veut-tu.
-Moi …
-Elle se moque de toi ou elle est bête.
-
Je veux me vanger du fait que tu m'es humilié hier matin.
-
Tu n'est qu'une véritable gamine.
-
Le gros problème c'est que MON CHERI a tout vu.
-
HAHA il faudrait que tu commences à comprendre que vous ne sortez pas ensemble et qu'il ne t'aime pas .
-
Si ils sortent ensemble ce matin Cynthia et Maxime on discuter et on décidé de se mettre en couple.
-
Cynthia je pense que c'est normal car elle est partit avant que vous ayez discuter.
-
Exactement ! Et je vais te dire une chose: ne pas touché ni approché MON CHERI et ses ami(e)s.
-
Car tu crois que je vais t’écoutai car tu vois il y a un détail c'est qu'ils sont mes ami(e)s .
-
Je m'en fiche ne t'approche pas d'eux.
-
Bon tu commences a m’énerve. Réglons ça devant tout le monde en cours de gymnastique d'accord.
-
Parfait mais tu as oublié un détail toi aussi.
-
Toi et ta copine n'avez pas de justaucorps.
-
Je n'ai jamais dit ça. Tiens Émilie.
-
Merci mais toi.
-
J'en ai un autre .
Les pimbêches jubilaient de rage. Moi j’étais vide. Le garçon que j'aime sort avec cette fille.
Enfin c'est ce qu'elle dit. Pourquoi elle ne traîne pas avec eux.
Pourquoi ne nous l'aurait-t-il pas dit lui ou même les autres. Et puis il pense toujours à la Éléonore qu'il a connu. Non je n'y crois pas. Je demanderai à Aaron. Bon maintenant on se prépare et je vais la battre.
Pour connaître la suite vous savez ce qu'il vous reste à faire
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