Chapitre 7

Durant le film Maxime avait déposé quelques baisers légers dans mon cou se qui bien sûr déclencha des frisson chez moi, ce qui comme vous l’aurez deviné l'amusé. Le film se termina et je n'avais pas envie de bougé.

-Tu veux qu'on fasse quoi maintenant ?

-Hum, je sais pas, il est quel heure ?

-18h34.

-Il va bientôt falloir y aller non ?

-Oui.

-Les enfants on y va !!!

-On arrive !

On c'est regardé et nous avons retenu un rire.

-Bon, ben on descend.

-Ouai.

Je me suis levée et il a fait de même. J'étais devant la porte, lui derrière moi , je tendais la main pour atteindre la poignée lorsqu'il arrêta mon geste en prenant mon bras , je fronça légèrement les sourcils d'incompréhension. Et me tourna vers lui.

-Qu'est-ce-qu'il y a ?

-Il faut descendre, mais j'en ai pas très envie en fait.

-Pourquoi ?

-Parce que devant mes parents nous ne sommes officiellement que des amis d'enfance.

Je souris et je pose mes bras sur son torse jusqu'à les passé autour de son cou, il entoura ma taille de ses bras. On se regardait, on avait pas besoin de mot pour se dire que l'on s'aime , nos regard suffisait pour le comprendre. Il se pencha vers moi et m'embrassa, au bout de quelques secondes il se recula et mit fin à ce baiser, il se relava ( il se penche un peu car il est plus grand qu'elle ) mais aussitôt nos lèvres séparées je me mis sur la pointe des pieds et captura les siennes pour un nouveau baiser. Cela le fit sourire, puis nous descendîmes en bas rejoindre les parents de Maxime qui nous attendaient.

-Désolé de vous avoir fait attendre.

-Ce n'est rien.

-Bon allons-y.

Nous sommes sortit, nous marchions pour nous rendre chez Melinda, c'est à dire juste en face.

Maxime m'a prit la main juste un instant, je me suis rapproché de lui de quelques centimètres.

Hélène sonna, et une femme vint nous ouvrir le portail.

-Bonsoir, je suis contente de vous voir.

-Bonsoir, nous aussi Marine.

-Entrez.

-Merci.

Nous sommes rentrés et on est allé de l’autre côté de la maison, où un homme s'occupait du barbecue et Melinda joué à la balançoire.

-Bonsoir Henri.

-Oh, bonsoir Jacques, ça fait plaisir de vous voir .

-C'est pareil pour nous .

Moi je me faisais discrète. Me faire remarqué n'étais pas mon but au contraire, si j'avais pu je me serai rendu invisible.

-Et qui est cette ravissante jeune fille.

-C'est Éléonore, c'est elle qui a sauvé Caramel.

-Oh c'est vous, merci beaucoup , me remercia Marine.

-Ce n'est pas la peine de me remercier c'est normal.

-Tu es une amie de Maxime ? Demanda Henri

-C'est son amie d'enfance.

-Ah d'accord.

Maxime et moi essayons de le caché mais on était embêté, on avait envie de dire qu'on était plus que ça.

-Ah, vous êtes justes amis ? Je croyais que vous étiez des amoureux.

On a été surprit on ne s'y attendait pas, on était gêné et on c'est mit à rougir. Découvert par une enfant de 6 ans, soit ça se voit comme le nez au milieu de la figure et les parents de Maxime sont aveugles soit elle est très intelligente soit, je n'en sais rien.

-Euh … ben en fait …

Je regardais le sol, je ne savais pas quoi dire ni quoi faire.

Maxime fit un pas vers Melinda, c'est accroupit pour être à peut près à la taille de sa taille et lui a sourit. Les parents des deux familles nous regardaient.

-Tu as raison.

Il c'est relevé, Héléne et Jacques tiré une tête surprise.

Il c'est rapproché de moi et m'a prit la main.

-Tu as raison on est des amoureux.

En réalité, Éléonore et moi , on sort ensemble depuis quelques jours .

-Donc tout les deux vous …

-Oui.

-Pourquoi ne pas nous l'avoir dit ?

-On savait pas trop comment vous dire ça.

-On a été un peu aveugle aussi.

-Vous faîtes un très joli couple, nous dit Marine

On c'est regardé en souriant.

-Merci.

-Bienvenue dans la famille.

-Je suis très heureuse que ce soit toi.

-Merci.

-Maintenant que j'y pense, il ne pouvait pas en être autrement.

-Oui

Il me regardait avec les yeux pleins d'amour, je fondais sur place.

On était soulagé, plus besoin de se caché. Cependant la situation était un peu étrange et gênante.

-J'ai faim.

Tout le monde a rit. Grâce à elle noter relation est officiel pour tout le monde, enfin presque, je vais devoir le dire à mon père et puis elle détendait l’ambiance.

-Alors mangeons.

-Oui.

Le repas était très bon. Durant la soirée Jacques nous avait chanté quelques chansons à le demande de sa femme soutenu par Marine et Henri. Je connaissais un peu ayant habité à Londres, à la fin j'ai fini sur scène avec Maxime.

Vers 21h30 Melinda devait allée se couché. Je l'ai accompagnée et lui est lu une histoire. J'avais passé une bonne soirée. Vers 23h nous sommes rentrés, le moment du couché était assez gênant, mais ça allait. Ils nous ont juste souhaité une bonne nuit sans sous entendu ce qui était vraiment agréable. Je ne sais même pas comment j'aurais réagis si ils avaient dit un truc avec des sous-entendus derrière. On est montée dans la chambre de Maxime, on c'est lavé les dents, mit en pyjama est couché. J'étais tellement bien dans ses bras. Je pensais passé une bonne nuit mais ce ne fut pas le cas.

Je fis un rêve ou plutôt un cauchemar.

J'étais dans un endroit noir, Maxime apparut, il s'éloignait, je l'appelais, je criais de toute mes forces, mais aucun son ne sortait de ma bouche. Je courrais après lui mais il fini par disparaître, j'avais l'impression de chuté, j'étais dans le vide. Puis je vis comme un écran se rapprochait dans lequel je vis une fille, très belle fille, de long cheveux noir attaché en une couette haute aux yeux bleus.

Lorsque je voulu l'effleurais de mes doigts il disparu presque aussi vite qu'il était apparu mais me laissant le temps de parfaitement mémorisé cette image . Je sentais que quelques choses n'allait pas.

Je me sentais secoué, et j'entendais cette voix plus que familière m’appelait, j'ouvris les yeux et me réveilla.

J'avais chaud, je transpirai et ma respiration était saccadé.

-Éléonore, ça va ?

-Maxime, euh... oui pourquoi ?

-Tu as fais un cauchemar, tu étais plutôt agitée dans ton sommeil.

-Je t'ai réveillé, je suis désolée.

-Ce n'est rien. Allez viens là.

Il m'attira contre son torse et me serra contre lui, je me blotti dans ses bras.

-Tu veux me racontez ?

-Non c'est rien, essaye-je de le rassuré. Je m'en souvient même plus, renchéris-je en espérant qu'il me croie.

-Bon si tu le dis. Essayons de nous rendormirent.

-Oui.

Nous finîmes par nous endormir comme ça, cette fois-ci je dormis bien, et j'espérais que ce serai toujours le cas et que je n'aurais plus de cauchemar dans ce genre là. Mais je sentais que ce n'était pas la dernière fois. Cette fille je ne la connais pas, ça j'en suis sûre, soit elle n'est que le fruit de mon imagination soit je ne sais pas. Une chose est sûre, je n'espère pas la rencontré, je ne sens pas de très bonne chose à son égard. Seul l'avenir éclairera tout cela.

J'ai écris ce chapitre en collaboration avec déesse-lucie !